1. Shadow - Première rencontre


    Datte: 04/07/2021, Catégories: voiture, fsoumise, hdomine, Oral init,

    ... se contentant de continuer son œuvre. Il posa à nouveau sa main sur l’arrière de sa tête et elle eut une nausée aussi soudaine, imprévisible que rapide. L’impression disparut aussi vite qu’elle était venue. Elle continua à sucer le sexe de son maître jusqu’à ce qu’il lui demande : — Tu as bien tout avalé ? Cette question la surprit plus que jamais. Elle se sentit ridicule. Son inexpérience était vraiment totale, car elle n’avait pas compris qu’il avait éjaculé. Elle fut d’autant plus que surprise qu’elle avait lu que le sperme avait un goût fort ; or, ne pas se rendre compte qu’elle en avait dans la bouche prouvait que ça n’était pas le cas. Elle avala ce qui n’était pour ses papilles que sa propre salive. Elle voulait bien croire qu’il y avait du sperme mélangé avec, mais elle ne faisait pas du tout la différence. Si avaler lui déplut, ce fut seulement parce qu’elle n’aimait pas boire chaud et généralement, sa propre salive lui déplaisait, mais ce ne fut pas le sperme qui la dérangea. En deux gorgées, elle en eut avalé une bonne partie. Pour bien finir, elle dut retirer de sa bouche le sexe de son maître, mais elle le remit rapidement en place, désireuse que cela dure plus longtemps et il ne l’en empêcha pas. Elle continua ainsi à jouer avec lui et il finit par souffler : — J’ai l’impression que si je te laissais faire, tu la garderais toute la journée. Elle eut brusquement envie de rire. Elle ne s’attendait pas à cela. Elle avait craint de détester cet acte qu’elle avait ...
    ... refusé à ses deux partenaires précédents et voilà que non seulement elle aimait ça, mais qu’elle en redemandait. Il la laissa continuer un peu et, afin d’être plus à l’aise, elle fit doucement reposer sa tête contre le ventre de son maître. Le pull était doux et la position était agréable. Son maître lui caressait tendrement le dos alors qu’elle le léchait avec douceur. Cela dura un bon moment. — Tu n’as pas l’air très confortable, fit-il alors remarquer. Elle cessa de le lécher pour annoncer : — J’ai mal au bras droit. En effet, elle reposait dessus tandis que sa main gauche n’avait eu de cesse de caresser la cuisse de son maître de toute la fellation. — Rassieds-toi normalement. Bien que déçue par cet ordre, elle obéit et massa son bras endolori. Il resta un moment silencieux tandis qu’elle tentait de déterminer quel goût il y avait dans sa bouche : non, vraiment aucun ou alors tellement faible que ça n’avait aucune importance. — Ce qui marrant, finit-il par annoncer, c’est qu’il y a tellement de buée sur les vitres que les gens qui passent ne se rendent pas du tout compte de ce qui se passe à quelques mètres d’eux. Elle sourit. Elle n’en doutait pas un instant. Elle ne s’était pas rendue compte que des gens étaient passés, trop concentrée sur sa tâche. Lorsqu’elle cessa de se masser le bras, il le lui caressa. Elle sourit alors qu’il reprit ses attouchements. Cette fois, il massa directement les seins, sans tourner autour et s’amusa avec ses tétons dressés. Elle gémit à ...
«12...131415...»