1. Shadow - Première rencontre


    Datte: 04/07/2021, Catégories: voiture, fsoumise, hdomine, Oral init,

    ... prenant ainsi sur la batterie. — Parce que j’avais froid, répondit-elle, ce qui était à moitié un mensonge, mais elle douta qu’il désirait qu’elle lui explique toute la situation.— Tu m’aurais encore attendu longtemps ? interrogea-t-il. C’était donc cela. Il avait supposé qu’en ayant arrêté les warnings, elle allait partir. Il avait dû croire qu’elle avait perdu tout espoir qu’il vienne. Elle ne s’était pas rendue compte de l’image qu’elle avait dû donner de l’extérieur en éteignant les warnings et en manipulant le GPS. Elle réfléchit à sa question puis annonça sincèrement : — Oui, je crois, oui.— Tu es là depuis combien de temps ? Elle se demanda s’il le savait. Testait-il sa sincérité ? Elle n’avait pas le droit de lui mentir et lui avait assuré qu’elle ne comptait pas le faire. — Depuis trois quarts d’heure environ, répondit-elle.— Donc, tu es arrivée en retard, lança-t-il.— Oui, maître, répondit-elle. Il y eut alors un silence. Il adorait faire cela. Au téléphone, il avait remarqué l’inconfort de sa soumise face à ses silences et lui avait annoncé qu’il le faisait exprès et en jouait, à merveille d’ailleurs. Elle ne comptait pas briser le silence. C’était à lui de le faire. Elle commençait à se lasser de regarder la buée sur le pare-brise. Elle sentait que ses yeux avaient envie de regarder ailleurs, ce qui risquait de l’amener à le voir. Elle décida donc de clore ses paupières, pour plus de sûreté. — Je ne t’ai pas entendu t’excuser, souffla-t-il soudain d’une voix ...
    ... accusatrice. Elle sursauta et lança rapidement : — Excusez-moi, maître.— Pardon ? Elle se rendit compte que ces excuses étaient plus que pitoyables et carrément insuffisantes. Elle sourit. Lui était arrivé avec une heure et demie de retard et c’était à elle de s’excuser alors que ce foutu GPS était le responsable. Allait-elle accuser la machine ? Non, c’était de sa faute. Elle lui expliquerait les raisons plus tard, par mail, et ce, bien qu’elle ne douta pas une seconde qu’il n’en aurait rien à faire. — Pardon, maître. Je vous supplie de me pardonner de mon retard, lança-t-elle d’une voix soumise. Un simple « hum » répondit à ces excuses. Cependant, cela sembla lui convenir, car il ne demanda rien de plus. Il y eut encore un petit silence, puis il souffla : — Tu respires fortement.— J’essaye de me calmer, expliqua-t-elle. Elle savait apaiser son stress et sa terreur, et cela passait surtout par la respiration. Il savait combien elle était nerveuse et qu’elle faisait des efforts pour ne pas se laisser envahir. Il ne dit rien, mais elle eut l’impression qu’il l’encourageait à continuer. Elle sourit puis se demanda quand il allait la toucher. Il lui avait dit qu’il le ferait et il n’en avait toujours rien fait. Sa prudence et sa patience étaient à la fois rassurantes et frustrantes. Lorsqu’elle fut un peu plus calme, elle osa : — Vous avez une odeur très agréable.— Laquelle ?— Je ne sais pas, celle qui est entrée en même temps que vous, répondit-elle, peu sûre d’avoir saisi la ...
«12...567...17»