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Un dimanche pas comme les autres - 2
Datte: 05/07/2021, Catégories: ff, fbi, couplus, bain, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, confession, Lesbienne
... canapé sa petite culotte. Toujours en me regardant, elle vient s’asseoir sur moi, relève ma robe et la fait passer par-dessus ma tête. Elle dégrafe mon soutif et se penche pour m’embrasser ; sa bouche sent le sexe et sa langue le goût de femme. Les genoux contre mes côtes, ses seins contre les miens, elle frotte son sexe sur le bas de mon pubis. Béa, qui a pris la place laissée libre entre mes cuisses, caresse les fesses de Fabienne. J’entends le petit crissement que nos poils émettent lorsque Fabienne agite son bassin. Elle me demande de m’allonger sur le canapé car elle veut me faire découvrir une nouvelle caresse. Je me retrouve donc sur le dos, les cuisses toujours ouvertes. Fabienne me tient un pied par la cheville et me replie la jambe ; elle m’enjambe et pose en douceur son petit abricot sur mon sexe offert. Elle se tient les lèvres de deux doigts pour s’ouvrir. Le contact est une merveille ; nos lèvres intimes s’unissent comme deux bouches un peu baveuses. Nos clitoris font connaissance, nos petites lèvres s’excitent mutuellement sur un rythme délicat. Nouvelle et formidable sensation de nos deux sexes glissant l’un sur l’autre… Béa, qui nous regarde, me caresse les seins et me demande comment je trouve cette pratique ; je ne peux que lui répondre « géniale ». Béa, toujours du bas du canapé, prend mon sein en bouche et le suce avec lenteur ; l’orgasme monte en moi. Son sexe glisse parfaitement dans ma fente. J’ai envie d’avoir la minette de Béa sur ma bouche : elle ...
... a dû le deviner car elle se redresse en me souriant et vient mettre ses genoux de chaque côté de ma tête. Un petit coussin pour me caler, et voilà déjà cette vulve chaude qui se pose sur ma bouche. Ma langue démarre au quart de tour et fond sur cette grotte bouillante. Le parfum intime se répand instantanément dans ma bouche, et déjà un délicieux nectar coule dans ma gorge. Je sens mes petites lèvres et mon clitoris fondre de plaisir contre Fabienne qui ne se décolle plus de moi et s’agite de plus en plus fort. Béa, elle aussi, active avec de plus en plus d’ardeur son bassin, et sa minette me glisse du menton au nez ; elle me barbouille la bouche en me tenant la tête d’une main. Je n’arrive plus à contenir mon plaisir et commence à pousser des petits cris qui restent étouffés par les chairs intimes de Béa. L’orgasme qui me cloue met fin à une expérience des plus sensuelles que j’aie connues. Béa et Fabienne se retrouvent en un clin d’œil dans un soixante-neuf endiablé qui les conduira à un puissant orgasme, preuve que ma présence décuple leur excitation. Le reste de la soirée se passe de manière plus classique, où la discussion et la rigolade prennent le relais. Je rentre chez moi très tard, le corps détendu et des images d’une sensualité rare dans la tête. Je ne sais pas où va me conduire cette expérience, ni même s’il est raisonnable de la poursuivre ; mais je suis heureuse de la vivre. Pas de nouvelles d’elles le dimanche ni le lundi ; c’est mardi vers dix heures que je ...