1. La consultation


    Datte: 10/11/2017, Catégories: fhh, médical, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, fsodo, fouetfesse,

    ... Est-ce que je me trompe ?— Non…— J’aimerais que vous vous caressiez et que vous nous racontiez ce qui se passe dans votre tête en ce moment.— Non ! Non, je ne peux pas ! Pierre, je t’en prie, allons-nous-en ! Je te promets d’être plus attentive à tes désirs à l’avenir. Julie est partie se réfugier dans les bras de Pierre, confortablement installé dans le divan et pour assister à l’enivrant spectacle de son innocente épouse livrée aux caresses de son complice. Un étrange sentiment de jalousie, mais surtout d’excitation, l’a envahi en observant sa femme nue et tremblante d’émotion au milieu du salon. Il ne s’imaginait pas capable de prendre un tel plaisir en jouant au voyeur et en observant le trouble et le désir prendre peu à peu possession du corps de Julie. C’est donc un peu déçu qu’il l’accueille entre ses bras, en profitant quand même pour laisser à son tour ses mains s’enivrer du contact soyeux de la peau brûlante. — Il ne s’agit pas seulement d’être attentive aux désirs de votre mari, Madame Bertier, mais aussi – et surtout – de laisser les vôtres s’exprimer à l’image de ce qu’exprimait votre corps il y a quelques secondes à peine. Mais je vois qu’on a encore du travail tous les trois. Monsieur Bertier, j’ai l’impression que votre épouse a besoin que vous lui appreniez à être un peu plus constante et obéissante, vous ne croyez pas ? La fessée entre amants est souvent un excellent remède pour faire entendre raison aux velléités féminines.— ???… Quoi ?… Vous voulez ...
    ... rire, ma parole. Julie n’a pas le temps d’en dire davantage que Pierre l’a déjà retournée sur ses cuisses, coinçant ses jambes entre les siennes, la laissant le cul dressé et sans défense face aux deux hommes qui échangent un large sourire accompagné d’un clin d’œil appuyé. — Aïe !… Pierre ! Non !… Aïe !… Salaud, arrête !… Aïe ! Je t’en prie… Aïe ! Je vais obéir, je te le promets… Aïe ! Julie a beau implorer, s’agiter, pousser des cris perçants, Pierre continue à lui attendrir le derrière avec une régularité de métronome, admirant les couleurs chatoyantes d’un coucher de soleil se dessiner sur le cul de sa belle. Au bout d’une vingtaine de claques, les cris de Julie se font de plus en plus étouffés, séparés par des râles, des gémissements et des pleurs retenus, qui révèlent tout à la fois sa honte, sa douleur et le plaisir qui grandit au creux de sa petite chatte. Interrompant son ouvrage, Pierre glisse deux doigts dans la fente brûlante de Julie qui gémit de plus belle. Lorsqu’il les ressort brillants et trempés de liqueur, il les montre à son complice pour lui monter que leur plan diabolique commence à porter ses fruits. Le fessée dure cinq longues minutes, et lorsque Pierre libère ses jambes, Julie reste de longues secondes immobile, regrettant presque que cette incroyable expérience soit déjà terminée. — Alors, Madame Bertier, vous êtes prête à poursuivre le traitement à présent ?— Oui, Docteur…— Très bien. Venez alors ; nous allons passer dans mon cabinet. Julie se caresse ...
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