La consultation - Histoires de Sexe

La consultation

... refusée à goûter. Et voilà qu’ils la privent de cette nouvelle expérience. Mais elle n’a pas le temps de s’en plaindre car les lèvres de Pierre sont déjà venues se poser sur les siennes pour lui offrir un baiser amoureux, en remerciement du délicieux traitement qu’elle vient de leur offrir. — Bravo, Madame Bertier. Vos progrès sont remarquables. Je persuadé que la prochaine fois que votre mari sera d’humeur badine, vous vous souviendrez des sensations que vous venez de vivre. Je suis même persuadé qu’à l’avenir, vous n’attendrez plus qu’il prenne l’initiative pour manifester vos propres désirs. Êtes-vous prête à continuer notre séance ? Julie n’a pas besoin de répondre : ses yeux parlent pour elle, tout autant que son corps qui continue à trembler de plaisir. Ses jolis tétons dressés comme deux petites groseilles juteuses et son minou autrefois si timide débordant du fruit de sa jouissance ne laissent aucun doute sur son désir de poursuivre son incroyable expérience. — Très bien ; alors je vais vous demander de vous agenouiller sur la table. Oui, comme cela, à quatre pattes, le visage posé entre vos bras repliés de façon à bien cambrer les reins et à dresser votre superbe derrière en direction de monsieur votre époux. Voilà, c’est parfait. Julie a conscience de l’indécent spectacle qu’elle leur offre, mais ça lui est égal. Elle dresse son cul brûlant et écarte les cuisses pour laisser couler les dernières larmes de sa jouissance. Elle a renoncé à se préoccuper des ...

... inhibitions de l’ancienne Julie. En cet instant, elle ne pense qu’au plaisir qu’elle prend et qu’elle leur donne. Et si elle tremble, ce n’est plus d’angoisse, ni de honte, mais tout simplement d´impatience et d’excitation. Pourtant, lorsque Luc lui écarte les fesses et qu’elle sent s’ouvrir la petite cerise protégeant l’entrée de son cul, elle ne peut s’empêcher de sentir son estomac se nouer tandis qu’un frisson glacial parcourt ses chairs brûlantes. De toutes les pratiques sexuelles, la sodomie est certainement celle qui lui répugne le plus. Et si les extases qu’elle vient de connaître l’ont conduite à reconsidérer ses préjugés sur le sexe, elle ne se sent pas vraiment prête à accepter l’idée qu’on puisse venir visiter son petit trou ridé. — Voilà un anus vierge comme au premier jour, ou alors je ne m’y connais pas. Qu’en dites-vous, Monsieur Bertier ?— Pour ce qui me concerne en tous cas, je peux vous assurer que mon épouse ne m’a jamais offert le plaisir de le visiter.— Oh, Madame Bertier ! Vous savez que ce n’est ni sain ni charitable de négliger un anus aussi souriant que le vôtre. Je crois que nous allons devoir remédier à cela. Ma conscience professionnelle m’interdit de laisser plus longtemps une aussi charmante patiente dans l’ignorance des sensations incomparables que procure la sodomie. Julie frissonne de plus belle. Elle a du mal à accepter qu’ils puissent parler aussi librement de ce sombre et honteux orifice qu’elle a jusqu’ici réussi à préserver de la convoitise des ...