1. Annabelle progresse 5


    Datte: 05/07/2021, Catégories: BDSM / Fétichisme

    On frappe à la porte. Qui cela peut-il bien être à cette heure-ci? Tu émerges péniblement des limbes. Tu t'accoutumes peu à peu à ton environnement et tu réalises que tu n'es pas chez toi. Puis d'un coup, la soirée d'hier te revient en mémoire et tu sais où tu es. Tu réponds un oui encore brumeux en te levant. La voix à la porte te dit qu'il est temps de te préparer pour le boulot. Tu as beau avoir sucé ton patron, ça n'évite pas d'aller travailler. Aucun avantage, zut! Par contre, le petit déjeuner était prêt. Jus d'orange, croissants, café, confitures, beurre, baguette fraîche, tout y était. Toujours vêtue de ta nuisette un peu chiffonnée, tu t'es attablée et déjeuner avec appétit. Ton patron est sorti de la salle de bain, t'a tendu un paquet de vêtements en te disant que la place était libre.En ressortant de la salle de bain tu retrouves ton patron au salon et tu lui dis que tu supposes qu'aujourd'hui non plus tu ne dois pas mettre de string. Non, en effet, pas de string répond-il et même mieux ajoute-t-il en te tendant un objet, tu vas me mettre ça dans ton cul pour aller au boulot et tu le garderas jusqu'à ce soir, compris? Tu dis oui Monsieur sans savoir encore ce qu'il te donnait. Ce n'est qu'une fois dans ta main que tu découvris un "plug" de belle dimension. Vous voulez vraiment que je mette ça, Monsieur? Lui demandes-tu. Toute la journée, au travail, partout? Insistes-tu. Ben oui, c'est exactement ça et dépêches-toi, on va partir. Tu att****s le flacon de ...
    ... lubrifiant qui était resté sur la table basse du salon et tu retournes dans la salle de bain. La fête continue! Te dis-tu en maugréant. Puis tu t'accroupis, tu mets du gel sur le bout de tes doigts et tu prépares ton orifice, pourtant bien malmené hier soir. Ensuite tu en mets aussi sur le "plug" et tu l'enfiles doucement, avec quelques grimaces de douleur, dans ton trou du cul devenu glissant. Tu t'es relevée, as esquissée quelques pas, la "chose" s'est mise en place et tu es ressortie une nouvelle fois de la salle de bain en marchant quasi normalement. Ton patron t'attends déjà dans l'entrée, tu saisis ton coupe-vent et ton sac au passage et vous montez dans sa voiture. Il démarre, recule et s'engage dans la rue. Vous roulez en silence puis après quelques détour dans la ville, il s'arrête devant la gare des bus. Tu prends le bus dit-il, on ne doit pas arriver ensemble. A tout à l'heure. Oui Monsieur, dis-tu et tu descends. Tu repères ton départ de bus et d'ailleurs, celui-ci arrive aussitôt. Tu montes, cherches une place libre et vas t'assoire. Drôle de sensation cette chose qui se fait ressentir lorsqu'on s'assied. Mais tu ne laisses rien paraître, même si, curieusement, ce n'est pas si désagréable que ça. Comme tu as un bon vingt minutes devant toi, tu en profites pour m'appeler sur ton mobile. Bien sur tu ne peux pas me raconter ta soirée, vu ton environnement. Mais je te dis que tu ne perds rien pour attendre et que je veux tout savoir dès ce soir. Tu me dis oui en espérant bien ...
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