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Une surprenante collègue de travail
Datte: 06/07/2021, Catégories: ffh, fsoumise, Collègues / Travail attache, fsodo,
... me retourne : Nathalie est là, dans l’embrasure de la porte. Elle s’approche du lit et tire la couette d’un coup sec. Je l’entends dire d’une voix rauque que je ne lui connais pas : — Ta femme est vraiment trop dépravée ; tu dois la punir. Va chercher de quoi l’attacher ! Je pense que je pouvais tout arrêter à ce moment-là, mais un fond de perversité et une certaine envie de donner une bonne leçon à ma femme m’ont poussé à poursuivre cette expérience. Je file donc au garage chercher une cordelette assez épaisse pour ne pas trop meurtrir les chairs d’Hélène. J’en profite pour passer un coup de fil à l’usine en prétextant une crevaison pour expliquer que j’aurai une bonne heure de retard. Je reviens dans la chambre et découvre Nathalie donnant des coups de règle sur le corps de ma femme. C’est une règle plate en plastique. Les coups ne sont pas très douloureux, mais ils claquent fort. Hélène est roulée en boule sur le lit. Elle sursaute à chaque coup. Ses yeux sont embués de larmes ; elle a déjà renoncé à se rebeller. J’entends Nathalie dire : — Ton mari n’est pas toujours sympathique, mais ce n’est pas une raison pour se comporter ainsi. Je vais te punir, ma fille. Me faire traiter ainsi de quelqu’un de peu aimable me surprend un peu. Mais entendre une personne qui pourrait être sa fille se comporter comme si elle était la mère d’une gamine de 10 ans qui a fait une bêtise me surprend plus encore ! Cela met immédiatement en scène la situation. Nathalie me demande d’installer ...
... ma femme à plat-ventre sur le lit et d’attacher chevilles et poignets aux montants du lit, ce que je fais sans rencontrer grande résistance de cette dernière. Elle glisse un oreiller sous le bassin d’Hélène afin d’avoir un meilleur accès à son intimité. Ma femme est écartée sur le lit, son postérieur rebondi bien exposé découvrant son œillet plissé et sa chatte poilue. Les coups de règle recommencent sur les fesses de ma compagne qui ne dit plus rien, sauf quand un coup un peu plus vicieux que les autres s’égare entre ses cuisses. Ses yeux sont fermés et un filet de bave coule aux commissures de ses lèvres, mais plus surprenant encore, une mousse blanchâtre suinte de son sexe. C’est un choc pour moi de découvrir ce côté pervers de ma femme que je n’ai su déceler durant nos vingt ans de mariage. Ce n’est pas étonnant qu’elle utilise des substituts pour exacerber sa libido : je n’ai pas été un assez bon amant. Maintenant, les fesses d’Hélène sont rouges mais le temps passe vite ; il faut accélérer. Nathalie pince le clitoris de ma femme, la faisant gémir. Elle glisse deux doigts dans son vagin pour recueillir sa cyprine et lui en badigeonne l’anus. Elle recommence plusieurs fois puis en force l’entrée avec un doigt, et ce sont bientôt deux doigts qui investissent son fondement et qui la pistonnent doucement. Ma femme geint doucement à chaque intromission et je vois son cul palpiter. Nathalie stoppe ce traitement et me commande de prendre la suite. J’approche un doigt, mais ma ...