Notre bar a la campagne
Datte: 06/07/2021,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Un jour nous avons quitté notre grande ville et ses tracas quotidiens pour nous installer définitivement à la campagne où Léa, et moi José, avons rouverts un vieux bistro d’un village du sud Léa est très avenante et son attitude décontractée a tout de suite attiré les clients mâles célibataires ou non, je ne compte plus les fois où des mains baladeuses ont frôlés ses fesses rebondies, ça fait aussi partie de la partie ‘commerciale’, si je montrais les dents au moindre geste déplacé nous pourrions fermer boutique Certains après-midi elle tape le carton avec des retraités qui lorgnent plus sur son décolleté ou ses cuisses dénudées que sur les atouts qu’ils ont en mains, pour tromper sa vigilance ils essaient même de la faire boire mais en bonne ‘bistroquette’ elle sait rester sobre… je ne peux pas en dire autant … Beaucoup de clients paient leurs tournées et je ne suis pas en reste, en fin de journée je suis parfois ‘pompette’ ! Léa m’en fait le reproche, menaçant du fait que je suis moins vigilant pour céder aux avances de jeunes clients en quête de femelle en chaleur Que ferais-je si elle acceptait des gestes plus précis sur son anatomie ? ces suppositions m’excitent plus qu’elles ne me suscitent de la jalousie mais je me garde bien de lui révéler, j’étais loin de me douter que j’allais bientôt en faire l’expérience … Ce soir-là j’avais ‘encore ’un peu picolé, ce qui a énervé ma femme , soudain un jeune gars est entré, ça s’est passé comme dans les saloons de la conquête de ...
... l’ouest, ce ‘cowboy’ inconnu , chemise ouverte sur un tapis de poils bouclés marche vers le bout du comptoir d’une façon lente et déhanchée, roulant des mécaniques, ses yeux d’un bleu perçant ont tout de suite repérés la petite blonde derrière le zinc, il s’est assis nonchalamment sur le tabouret en mâchouillant un chewing-gum fade, le silence dût a son entrée n’a duré que quelques secondes avant que le brouhaha ne reprenne, Léa, surprise par sa beauté virile s’est dirigée fièrement vers lui faisant ressortir ce que dissimule mal son corsage ouvert à la limite de la décence Ils se sont jaugés du regard comme deux malfrats avant un duel à mort, quand Léa s’est penchée ‘il’ a avalé difficilement sa salive quand elle lui a demandé de sa plus belle voix suave ce qu’il désirait prendre … la réponse m’a laissé pantois... - Vous ! - A emporter ou à consommer sur place ? - Hein ?? Hééé… un demi bien frais - S’il vous plait, c’est trop vous demander ? ! - S’il vous plait mademoiselle, un demi bien frais - Eh bien voilà ? je vous apporte ça jeune homme ! pour consommer la patronne s’adresser au patron, mais je doute qu’il soit d’accord - Qui sait ? il suffit de lui demander ? - Chéri ? ce monsieur veut me sauter qu’en pense-tu ? - Ça dépend … - Ça dépend de quoi ?... - Combien ou comment ? - Tu me prends pour une pute ? hé bien tu vas voir de quoi je suis capable, j’en ai marre de tes ivrogneries quotidiennes … Voyant le ton monter les derniers clients se sont levés pour partir, pour ...