Madame la députée
Datte: 06/07/2021,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... les bras, sa minirobe se soulève et s’arrête juste en limite de sa culotte. J’ai une poussée d’adrénaline. Elle m’allume ou quoi ? Elle pose les deux flûtes sur la petite table, et maintenant c’est son décolleté qu’elle me fait voir. « Mais… elle n’a pas mis de soutien-gorge ? » Hum, deux seins superbes. Elle s’assoit sur le fauteuil en face de moi et me demande de servir le champagne. — Ce n’est pas trop dur de s’asseoir avec une mini comme tu as ? — Bof, non. Il faut juste faire attention à ne pas croiser les jambes devant, mais plutôt sur le côté. Et puis, si on voit ma culotte, qu’est-ce cela fait ? On en voit bien plus sur les plages ; les femmes sont toutes un peu exhibitionnistes, non ? Tu ne trouves pas ? Moi, j’aime bien. Je vais te raconter une aventure que j’ai eue il y pas mal d’années, une vingtaine au moins. Nous avions l’habitude de passer nos vacances d’été dans un petit camping de la Côte d’Azur ; nous le trouvions super. Pour moi qui aime le soleil, ce camping était dans un endroit très chouette, assez isolé, et la plage petite mais qui était à peine à une centaine de mètres. Nous n’avions qu’une route à traverser, et elle n’était occupée que par les gens du camping : l’endroit idéal pour bronzer seins nus. Et aussi – et surtout – parce que le camping était tenu par la femme d’un marin-pêcheur qui faisait profiter les volontaires de sorties en mer pour taquiner le poisson. Pas pour moi qui ai le mal de mer – j’ai essayé une fois, et je ne recommencerai pas ...
... – mais pour mon mari qui est un mordu de la pêche : il est président de notre association locale. Donc nos vacances, c’était pour moi la plage, le soleil et la lecture, et pour mon mari la mer, et surtout la pêche. Des vacances superbes. Mais il m’est arrivé un petit problème : en changeant de slip de bain, j’ai attrapé un joli coup de soleil sur le ventre, à la lisière de la différence de taille du bas de maillot, et le soir nous voulions aller à un marché nocturne dans un petit village à côté. Quand j’ai voulu mettre une culotte, soit je la mettais trop haut et elle me faisait mal sur mon coup de soleil, soit trop bas, et elle tombait. Mon mari s’impatientait et j’ai décidé de ne pas en mettre. Et nous voici partis. Cela me faisait une drôle d’impression de me savoir sans culotte parmi tous ces gens qui déambulaient sur ce marché. Je me suis arrêtée devant l’étal d’un marchand noir qui proposait des bagues, colliers ou autres babioles ; il a fait une drôle de tête quand je me suis penchée pour voir un joli collier : il avait une vue plongeante sur mes seins nus (je ne mettais pas de soutien-gorge en été sous mes robes : à vingt ans, on peut se le permettre) et, bien sûr, ma touffe. Il avait une vue panoramique ; j’en ai été assez perturbée sur le moment, mais cela m’a procuré une impression bizarre. Mon côté exhibitionniste ? En rentrant en voiture, j’ai dit à mon mari le pourquoi de mon absence de culotte et la vision de ma nudité à ce vendeur noir. Il a éclaté de rire, et ...