Madame la députée
Datte: 06/07/2021,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... On ne parlait que la victoire des bleus. Je les regardais tous et scrutais qui me regardait en biais ; lequel m’avait baisée cette nuit ? Pas d’expressions singulières, ouf ! Je me dis que celui qui l’avait fait était discret. Cet après-midi, mon mari avait prévu une sortie de pêche en mer, et moi farniente sur la plage pour récupérer de cette soirée. Le camping était principalement composé d’habitués, des mordus de pêche, et aussi de Hollandais, comme partout d’ailleurs. Et c’est ainsi alors que j’étais en ce début d’après-midi sur mon transat en train de lire en attendant un peu d’aller à la plage, le soleil étant très fort, que je vis un grand gaillard hollandais s’avancer. Mon mari les appelait « les deux pédés ». « Pourquoi ? » lui avais-je demandé. « Ils sont toujours ensemble avec son copain, en courses, sur la plage. Partout, quoi ! » — Bonjour Madame ! Sqiouze-mi, me dit-il dans un accent mi-anglais, mi-français. — De quoi ? — This night ! — What ? Quelle night ? — Je vous ai vue dans l’eau cette nuit et je pas pu résister, me fit-il comprendre. Et je, je… « Quoi ! Alors c’est lui qui m’a baisée ? Quel malotru ! » Je le regarde. 1,80 m, 80 kg. Beau gosse, costaud, une trentaine d’années pas plus, blond, vêtu d’un short et un tee-shirt. Je me suis levée. « Je fais quoi ? Je le gifle ? » En me relevant de mon transat, je me suis mise devant lui ; il me dépassait d’une bonne tête. Il m’a souri, et je ne sais pas ce qui m’a pris : je l’ai pris par la main et le fis ...
... entrer dans la tente. « Ah, mon gaillard ! Tu m’as baisée ? Eh bien maintenant c’est moi qui vais te baiser ! » Nous étions ventre contre ventre et je l’ai fait reculer jusqu’au matelas pneumatique qui nous servait de lit ; je l’ai poussé et il est tombé à la renverse. J’ai pris les choses en main ; en un instant j’ai quitté mon bas de maillot de bain et lui a baissé son short. Il bandait et je n’ai eu aucun mal à m’empaler dessus. Nous avons fait l’amour une bonne partie de l’après-midi. Mon mari a été mon premier amour, et mon Hollandais mon premier et seul amant. Mon mari m’a rejointe à la plage après sa pêche en mer, et me voyant étendue aux côtés des deux Hollandais, il ne put s’empêcher de sourire. — Au moins, avec eux je n’ai pas de soucis à me faire ! me dit-il. Hum… La fin des vacances approchait, et un soir mon mari me dit : — Le patron-pêcheur nous a proposé pour demain une pêche au gros, mais cela m’embête. — Pourquoi ? — Il faut partir très tôt le matin vers 6 heures, et partir toute la journée. Cela m’embête de te laisser toute seule. — Et alors ? Vas-y. Tu en meurs d’envie, non ? C’est notre dernier jour, profites-en. Je demanderai aux Hollandais de me protéger. Il a rigolé. Le lendemain matin, après une bise il a quitté la tente. J’ai eu du mal à me rendormir. Un moment après son départ, j’entendis le zip de l’ouverture de la tente. Tiens… — Tu as oublié quelque chose ? — No. Et le zip de la chambre s’ouvrit ; la tête de mon amant hollandais émergea, puis son corps ...