Retour à la maison
Datte: 07/07/2021,
Catégories:
ff,
hplusag,
bus,
fsoumise,
hdomine,
noculotte,
facial,
Oral
... bon endroit. Il la branle doucement maintenant et Marie-Claude se laisse envahir d’une douce langueur qui la porte petit à petit vers quelque chose de grand, un plaisir qui monte du fond de son vagin et qui irradie dans tout son corps, des doigts de pied jusqu’à la racine des cheveux. L’orgasme la surprend au moment où le chauffeur est obligé de freiner brutalement à cause d’un chien qui traversait la rue juste devant le car. Tout le monde crie un coup et, dans le brouhaha qui s’en suit, Marie-Claude peut donner libre court à son plaisir sans que cela ne se voit. Elle inonde de jus liquoreux la main de son partenaire et se soulève légèrement pour qu’il se retire ce qu’il a la galanterie de faire. — Merci beau blond, tu serais presque doué tu sais, encore quelques leçons et tu pourrais faire un amant correct. Mais pour le moment j’ai mieux à faire, alors salut, à un de ces jours peut-être. Son branleur d’un jour est resté sans rien dire. Il est suffoqué par tant de désinvolture et tant de beauté à la fois. Jamais il n’avait rencontré une femme comme celle-là et il voudrait bien finir la journée avec elle. Mais Marie-Claude est déjà loin, elle court vers sa maison, enfin celle des Taylor. Sa jupe vole sous le vent de la course et il peut apercevoir pendant quelques fractions de secondes le cul de Marie-Claude, ce que le chauffeur de car salue par un grand coup de klaxon. Marie-Claude, sans se retourner, le salue en levant le bras et tourne au coin de la rue vers son lieu de ...
... séjour. ---oooOooo--- Rapidement Marie-Claude a rejoint la maison des Taylor qui est un peu isolée dans le quartier. Elle ouvre la barrière, rentre dans le jardin et fonce dans madame Taylor qui partait en ville pour un rendez-vous chez le médecin. — Oh, pardon madame, excusez-moi, je suis en retard, veuillez me pardonner, mon week-end a été… chargé !! Marie-Claude est rouge de confusion et baisse la tête en parlant. Elle a conscience de son aspect physique et a bien vu que son interlocutrice a compris d’où elle venait. — Hum, vu votre état, je comprends que vous ayez perdu la tête, j’espère au moins que cela a été agréable ?— Euh…! oui.., beaucoup enfin… je veux dire oui comme-ci comme ça. Marie-Claude s’empêtre de plus en plus dans ses explications ce qui a le don de faire rire madame Taylor. Elle n’est pas dupe et l’embarras de Marie-Claude la réjouit au plus haut point. — Allez filez à la maison, les enfants ont besoin de vous, mon mari est encore là, alors un peu de tenue s’il vous plaît.— Oui madame c’est promis. Marie-Claude reprend sa course et entre en trombe dans la maison. Elle va directement dans sa chambre mais est interceptée au passage par monsieur Taylor qui la pousse dans la cuisine et referme la porte derrière lui. — Un instant jeune fille, d’où venez-vous comme cela ? Ça fait une heure que je vous attends en m’occupant des enfants, il va falloir vous faire pardonner. En disant cela il tient toujours Marie-Claude par le bras et la force à s’agenouiller devant ...