Baise en rêve, baise de rêve (2)
Datte: 07/07/2021,
Catégories:
Inceste / Tabou
Je reste interdit en voyant le visage de ma sœur apparaître petit à petit. Ce n’est qu’après que je remarque sa nudité, ses seins pointus, ses cheveux semblables à de la paille. Je ne sais plus si c’est un rêve ou la réalité. Je flippe à mort. Et pourtant je la sens plus que jamais : ses jambes installées de part et d’autre de mon corps... ses mains qui commencent à parcourir mon torse... je reconnais même ses ongles, c’est bien elle ! En une seconde qui me semble être une éternité, son visage se forme complètement et ses lèvres entrent en action : — Alors frérot chéri, que fais-tu là ? — Ophé? C’est toi ? C’est quoi ce bordel ?! — Calme-toi... tu passais du bon temps avec ta copine, non ? Y a pas de raison que les prochains moments entre nous ne soient pas aussi bien... — Mais de quoi tu parles putain ??? L’entendre parler était très net dans ce nouveau lieu. Trop net. Chaque parole qui sort de la bouche de ma sœur me touche directement au corps, au cœur. Alors que dans les champs que j’ai quittés les mots étaient compris mais transformés en vibrations opaques, les mots d’Ophélie sont cassants, transperçants. Pour mon plus grand malheur. Je dis ça parce que je la vois approcher doucement ses mains de ma bite, en fait. J’ai débandé tout d’un coup lorsque je suis retombé, mais tout indique qu’elle va se charger de me remettre en forme. Mon Dieu, je suis foutu. — Ophélie, tu fous quoi ?? — Bah quoi ? T’avais bien envie de baiser y a deux minutes non ? N’oublie pas qu’ici, tu ...
... es mon en mon pouvoir. Et je compte bien en profiter, mon cochon de frère ! Ni ses mots, ni son ton ne me font penser à ma sœur, pas plus que son attitude de nympho. Mais sinon c’est bien elle. Et elle commence doucement à me masturber, ce qui m’effraye plus qu’autre chose, il faut bien le dire. Je cherche un moyen de dissuader ma sœur, mais je suis solidement emprisonné sur cet autel improvisé. Et malheureusement, tout dans cette pièce surréaliste inspire la peur. Les mains d’Ophélie glissent sur mon membre, je la sens s’activer pour me remettre en forme. Je commence à avoir peur de mes instincts ; mes regards vers la raide poitrine de ma sœur se font de plus en plus marqués. D’ailleurs implorer ou essayer de s’échapper ne sert à rien ; elle reste sourde à mes appels, et je suis trop bien attaché par les sylvestres menottes. Doucement, je commence à avoir une nouvelle érection, d’autant plus que ma sœur ne se retient pas vraiment, elle lèche ma lance naissante et la frotte même contre sa chatte pour provoquer mon excitation... La sensation est très différente du "monde d’en haut" où je me tapais tranquillement mon fantasme jusqu’à la catastrophe : quand je baisais Camélia, je pouvais être aussi violent que je voulais et ne ressentir malgré tout que de vagues bouffées de chaleur, des retours de vibrations qui me faisait sentir bien, quoi qu’il se passe. Ici, tout est beaucoup plus cru, je suis tiraillé entre mes liens et la pipe que me procure ma sœur, c’est comme boire un ...