Examen blanc
Datte: 07/07/2021,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Je suis de retour en classe après les vacances de Noël. Mon premier cours d’option de l’année a commencé il y a déjà vingt minutes, et voilà déjà vingt minutes que je suis retombée, malgré mes bonnes résolutions, dans mes mauvaises habitudes. J’ai à moitié décroché du cours, mon esprit divague et surtout je jette des petits coups d’œil régulier à R., à l’autre bout de la classe. R. n’est pas franchement mon type, il n’est pas très grand, un peu pédant, et surtout il est meilleur que moi en philosophie, ce qui est impardonnable. Mais il a une moustache extrêmement sexy, une belle voix et puis il n’arrête pas de me regarder. Je pensais que ce n’était qu’une impression, mais il me regarde définitivement souvent, l y a de quoi être intriguée. Il ne me sourit jamais, il se contente de me lancer ce regard grave et direct, et je finis toujours par détourner les yeux. Heureusement il est dans l’autre classe, je ne le vois que deux heures par semaine en option, mais je dois avouer que j’attends ces heures avec une certaine impatience. Surtout depuis ce qui s’est passé avant les vacances, pendant le concours blanc. L’épreuve de français dure six heures. Je sors généralement vers la quatrième, pour remplir ma bouteille d’eau et m’aérer un peu la tête. En période d’examen blanc je ne croise pas souvent R., n’étant pas dans la même classe nous composons dans des salles différentes. Mais par un hasard remarquable, il se trouve que ce jour-là nous sommes sortis en même temps de nos salles ...
... respectives. La probabilité n’était pas énorme : en effet, pendant les épreuves nous pouvons aller aux toilettes un par un, impossible de quitter la salle avant que l’étudiant sorti avant nous ne soit revenu. Mais bien sûr, il arrive de croiser dans les couloirs des gens de l’autre classe. R. sort au moment où je passe devant la porte de sa salle. S’il est troublé, il n’en laisse rien voir, et me regarde à peine. Il s’avance dans le couloir d’un pas décidé. La trajet est relativement long jusqu’aux toilettes, et à cette heure les couloirs sont déserts, ce qui me permet de mater ses fesses à loisir. Elles ne sont pas mal, pas mal du tout. Il est habillé sobrement, avec des vêtements qui semblent confortables mais qui inspirent une certaine élégance. Je prends mon temps, savourant la vue autant que le soulagement de pouvoir enfin dégourdir mes jambes. R. au contraire marche vite, et s’engouffre dans les toilettes. Il aurait pu me tenir la porte, je n’étais pas si loin que ça. Je la pousse à mon tour pour entrer, mais dès que j’ai pénétré dans la pièce je suis repoussée violemment. R. est là, me tenant fermement plaquée contre le mur carrelé dont le froid m’envahit aussitôt. Mon coeur bat à toute allure, je suis sous le choc et un frisson parcourt mon corps. Est-ce simplement le froid ? Je crois que je suis aussi un peu excitée. Ma bouteille roule sur le sol où je l’ai laissé tomber. Je manque m’effondrer moi-même lorsque R. se penche vers moi pour me rouler une énorme pelle. Je ...