1. Ma stagiaire est conne... J'aime ma stagiaire


    Datte: 07/07/2021, Catégories: fh, hplusag, jeunes, Collègues / Travail fépilée, neuneu, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral humour,

    ... pas bon pour votre image… On ne vend pas des culottes avec des poils qui dépassent… Je suis vraiment désolée, excusez-moi… Vous n’êtes pas fâché ? Vous préfériez que je rase aussi là-bas ? Bien sûr, je suis vraiment bête, j’aurais dû y penser tout de suite. Et vous qui n’osiez rien dire, vous êtes un homme bien… Il ne fallait pas, monsieur, je suis votre stagiaire, il fallait me le dire tout de suite… Excusez-moi, je vais trouver une solution, vous verrez monsieur, je serai à la hauteur… Vous comprenez ce n’est pas facile pour moi, j’ai toujours été une idiote, je me suis encore cassé un ongle sur le clavier ce matin…— Ce n’est rien Natacha, ce n’est rien. Vous êtes très bien comme ça. Sentez-vous à l’aise avec moi…— Oh merci monsieur, vous êtes un vrai père pour moi. Et le papa l’a prise dans ses bras pour la calmer. Et en plus, elle a la peau douce… Et merde. Au contact, elle s’est vite reprise, s’est levée, a tiré sur sa jupe et a dit qu’elle revenait tout de suite. Merde, elle me prenait pour son père. Je ne m’étais jamais senti aussi gamin. Deux heures plus tard elle revenait toute fière et sûre d’elle. — Voilà monsieur, c’est fait. Et elle de remonter innocemment sa jupe et d’écarter son slip pour me montrer qu’elle avait suivi les instructions. Elle avait tout mis à RAS, complètement à RAS… Plus un poil, plus rien. RAS. — J’ai tout coupé comme ça personne ne pourra dire que je suis une fausse blonde et que je donne une fausse image de votre marque ! Ça vous convient ...
    ... comme cela ? RAS. Rien à signaler, là le patron n’a plus rien à dire. Sa chatte est parfaitement lisse, plus un poil ne dépasse. Sa petite fente est conforme à mon image, je bande. Ma stagiaire est connemais qu’est-ce que je vais dire à ma femme quand elle verra la tache qu’il y a dans mon pantalon ? Une demi-heure plus tard elle revenait avec mon café, je bandais encore… Le lendemain la voilà qui vient m’apporter ma tasse de 8 heures. Elle a été chercher du sucre dans l’armoire. Je voyais sa petite culotte, le pli de ses fesses, le tissu rentrait dans sa moule rasée. Elle est revenue vers mon fauteuil, elle s’est penchée. Quel décolleté, ses seins se balançaient là, à portée de main… C’était trop. — Mademoiselle…— Monsieur…— Je peux toucher ? Je peux saluer vos tétons ? Elle a alors pris son sein d’une main et l’a fait sortir de son chemisier. J’ai touché. Il était ferme, gonflé à bloc. — Oh, monsieur…— Appelez-moi Georges…— Oui Georges… Vous êtes gentil avec moi, si vous voulez je peux vous faire une petite faveur…— Une faveur ? Elle s’est redressée, a remis son sein à sa place, est sortie en vitesse et est revenue avec un paquet de Kleenex à la main. Elle s’est vite assise à côté de moi et s’est mise à retirer ses bagues en les déposant sur la petite table. Tout en parlant, elle a remis ses seins à leur place précédente, à savoir hors de son décolleté. Quelle masse ! Superbes ! — Mon professeur de dactylo m’a bien appris qu’il fallait toujours faire plaisir à son patron. ...
«12...678...»