1. Dans les toilettes d’un centre commercial


    Datte: 30/06/2017, Catégories: Anal Gay

    ... en est spécialiste, je n’y arrive pas ) mais je fais un effort et augmente la cadence de mes mouvements. Je suis face à lui, les deux mains sur ses fesses et fais pénétrer mes deux majeurs dans le trou de son cul en écartant au maximum. Cela lui fait beaucoup d’effet, je le sens dans sa bite, il ne va pas tarder à jouir. Je ne veux pas qu’il éjacule dans ma bouche, aussi quand je le sens venir, je la sors de ma bouche en la serrant bien et me prends plusieurs jets de sperme en pleine figure. Je suis inondé de sperme quil s’écoule ensuite sur mon gilet, ma chemise, ma cravate ! Tant pis ça ne tache pas … mais du coup je me suis mis à bander moi aussi je fais signe de me sucer, nous ne pouvons pas parler. Il prend ma queue dans la main, se baisse et la porte à sa bouche. Il la lèche un peu, mais on sent que ce n’est pas son truc. Comme je durci de plus en plus, il se positionne derrière moi et se mets à me branler frénétiquement de manière plus classique. Il serre fort ma bite et la secoue violemment, m’enfonce un ou deux doigts dans le cul (ou trois peut être je ne suis plus en état de l’évaluer). Il me serre fort dans ses bras et de sa main droite, il me caresse et pince les tétons à travers le tissus soyeux de la chemise. C’est beaucoup de plaisir… Je ne tarde pas à jouir à mon tour, j’arrose de mon sperme ma veste qui est suspendue sur le mur en face. Bonjour les dégâts ! Je ne pense pas pouvoir retourner travailler dans cette tenue ! Il continue à me branler encore un ...
    ... moment après l’éjaculation. C’en en est presque douloureux mais je n’ai plus la force de dire quoique ce soit. Il finit par s’arrêter et me donne des petites tapes appuyées sur les fesses.Il a l’air satisfait, remonte son jogging qu’il avait toujours sur ses chevilles et me fait un clin d’œil. Il semble qu’il n’y ait personne à ce moment-là aux urinoirs, d’un mouvement rapide, il ouvre la porte, sort, la referme sans un regard et me laisse seul dans la cabine. Je la verrouille à nouveau pour être tranquille et avoir le temps de me rhabiller. Ce n’est pas sans mal. J’ai du sperme sur tous mes vêtements que j’enlève en partie avec du papier toilette et de l’eau , mon pantalon est fripé et ma chemise est trempée de sueur. Il n’y a que mon petit gilet qui a tenu le coup . C’est rare, en général c’est lui qui fait les frais de ce type d’ébatsJ’attends une petite demi-heure, pour me remettre. J’ai le cul tellement défoncé que j’ai du mal à marcher mais je suis bien, assis sur la cuvette des WC. Je rêve qu’il revienne, tape à la porte et que l’on recommence. Cette défonce me donne envie d’encore plus de bite. Je songe, un instant, à interpeler le premier pisseur qui va arriver pour lui demander de me défoncer à nouveau. Mais je ne le fais pas, je sais que cela ne marchera pas et que je ne vais pas avoir la même qualité de baise. Tant pis.Je sors, en me cachant un peu car j’ai honte de ma tenue et pars à pied chez moi me changer.Je suis retourné plusieurs fois dans ces toilettes mais je ...
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