-
Ce que l'on peut faire par amour (4)
Datte: 08/07/2021, Catégories: Inceste / Tabou
Manon ouvrit les yeux avec difficulté. Il avait fallu environ deux heures pour qu’elle cessât de penser à ce qu’elle avait vu et à ce qu’elle comptait faire avant de parvenir à s’endormir. Après des étirements des bras et des jambes, la jeune femme se sentit la force de se lever et de se diriger vers la cuisine où l’attendaient son frère et ses parents pour prendre leur petit-déjeuner. La conversation finit par déboucher sur les vacances. — Nous n’avons pas eu le temps de vous en parler jusqu’à maintenant mais votre père et moi avons trouvé un lieu sympa dans les Alpes valaisannes pour notre randonnée. — Ça reste quand même de la randonnée... — Ne fais pas cette tête, Florent. Laisse ta mère terminer. — Merci, mon chéri. Nous avons trouvé ce lieu sympa car le parcours n’est pas trop ardu et nous avons également entendu dire par les habitants de la région qu’une fête allait être donnée dans l’un des chalets de la montagne à laquelle nous irons. Florent demeura dubitatif. — Une fête ? Pour qui ? — Pour les jeunes, évidemment. D’après les renseignements que nous avons pu récolter auprès de la jeunesse locale, celui qui organise cette fête est un jeune à qui ses parents ont laissé le chalet pour quelque temps. De ce fait, il en profite. Cette fois, le visage de Florent se fendit d’un sourire. — Finalement, cette randonnée ne sera peut-être pas aussi ennuyeuse que je le pensais. Solange et Roger sourirent. — Et toi, Manon, tu te réjouis de cette nouvelle ? La jeune femme haussa ...
... les épaules. — Euh... Oui. Plus on est de fous, plus on rit. Manon et Florent s’échangèrent un regard complice imperceptible pour leurs parents. Lorsqu’ils eurent fini leur collation, parents et enfants firent la vaisselle et s’habillèrent pour la journée. Tandis que Roger et Solange se détendaient en regardant un film à la télévision, Manon et Florent regagnèrent leurs chambres respectives. Alors qu’il s’occupait en jouant à un jeu vidéo, le jeune homme fut surpris par la visite de sa soeur. — Dommage qu’on n’ait pas la maison pour nous tout seuls. Faisant mine de ne pas saisir l’allusion, Florent haussa les sourcils. — Pourquoi tu dis ça ? — À ton avis ? Je veux encore m’entraîner. — Tu auras sûrement l’occasion de le faire quand on sera en Valais. — Il y a un détail que tu sembles avoir oublié dans ton plan : à part quelques pipes, je n’ai pas fait grand-chose avec toi. — Je sais, mais qu’est-ce que tu veux ? Qu’on vire Papa et Maman de la maison pour baiser ? Il te faudra attendre. — C’est justement là qu’est le problème : je n’ai pas beaucoup de temps à disposition. Si... — Johann. Oui, je sais. Bon, si tu y tiens tant que ça, je connais un endroit où on pourrait faire ce qu’on a à faire sans être dérangés. — Et où est cet endroit ? — Il s’agit d’un motel dans lequel j’ai déjà emmené certaines de mes conquêtes. — Tu connais donc les gens de là-bas ? Ils ne se douteront pas de notre lien de parenté ? — Mais non. Ils n’y penseront pas un seul instant. Dans le pire des cas, ...