Intermittents du spectacle... sexuel
Datte: 09/07/2021,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
... couiner. Puis elle inversa la position afin d'exposer au notaire la danse de sa croupe. Le client avait ouvert son pantalon et se masturbait maintenant ouvertement. Marc quitta son rôle passif pour devenir franchement actif, exposant son glorieux pénis à la vue du notaire et le fourrant en levrette dans la vulve trempée de sa compagne. Il cogna dur, pétrissant et claquant les hanches de Karine qui accompagnait chaque coup de bite d'un commentaire sonore et particulièrement cru. Le couple baisait depuis une bonne demi-heure et il était temps de passer au bouquet final. Karine s'allongea, leva haut ses pieds et Marc l'enfila bras tendus, faisant battre ses couilles contre le giron de sa compagne qui l'encourageait de la voix et du ventre. Karine jouait de ses jambes avec habileté, tantôt pressant le dos de son partenaire, tantôt lui mettant ses chevilles contre ses oreilles, laissant ainsi totalement à découvert la jonction de leurs sexes en fusion pour le regard du voyeur. Il était temps pour Marc d'éjaculer et il se retira vivement pour arroser d'un sperme abondant le visage et les seins de sa compagne, laquelle s'en barbouilla avec volupté. Quand le couple se retourna vers le notaire, il était avachi dans son fauteuil, le visage cramoisi, le souffle haletant, le pantalon ouvert sur un sexe flapi. Son seul commentaire fut : "merci". Le couple s'échappa dans la pièce voisine pour s'essuyer et se rhabiller. Le client avait repris contenance. - Vous m'avez beaucoup plu. Je ...
... double votre prix. Mais il faudra revenir. C'est ainsi que Marc et Karine s'en revinrent avec 200 euros en poche pour avoir fait devant un tiers ce qu'ils faisaient habituellement dans l'intimité. - Voilà de l'agent facilement gagné, conclut Karine. - Oui, bon, d'accord, mais reconnais que j'ai assuré, répartit Marc dans un sourire. - C'est vrai et je dois te faire un aveu : j'ai joui, vraiment joui. - Alors, continuons... ********* Une semaine plus tard, le notaire sollicitait à nouveau le couple. Cette fois, l'exigence était différente. Marc était censé rentrer du travail et Karine s'affairer dans la cuisine. A eux ensuite d'improviser dans cette pièce et uniquement celle-là. Ils arrivèrent donc séparément. Karine avait apporté un tablier dont elle avait couvert sa tenue de ville et faisait mine de laver la vaisselle quand Marc entra dans la cuisine en costume et cravate. Le notaire observait dans un coin. Karine interrogea Marc sur sa journée pendant qu'elle nettoyait des assiettes devant l'évier et il lui répondit en défaisant sa cravate. Puis il l'enlaça par derrière, empauma ses seins sous le tablier et lui embrassa le creux du cou. - Qu'est-ce que tu veux, mon chéri, tu vois bien que je suis occupée. - J'ai envie de te baiser, là, tout de suite... - Tu es fou ! Tu vois bien que je ne suis pas prête. Allez, arrête ! Mais Marc poursuivait son pelotage d'une main tout en défaisant la ceinture de son pantalon de l'autre et son dard surgit, turgescent, prêt à l'emploi, plaqué ...