Intermittents du spectacle... sexuel
Datte: 09/07/2021,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
... regards. Karine et Marc faisaient durer les préliminaires, se caressaient, se branlaient, se suçaient. La poitrine d'Amalia se soulevait de plus en plus vite. Ils choisirent de s'unir devant son fauteuil, sur le tapis, en levrette : face à elle d'abord afin qu'elle lise le plaisir dans leur regard, puis de profil pour qu'elle mesure bien le travail de la bite et enfin de dos afin de voir le cul et les couilles de Marc en mouvement. Quand ils reprirent leur position initiale, Amalia avait dégrafé son corsage et libéré ses gros seins qu'elle caressait en les regardant. Karine et Marc la fixaient tout en s'activant. C'est alors que la voix du notaire éclata : - Baisez-la ! Karine et Marc se regardèrent, un peu interdits. Ils étaient censés se produire devant des voyeurs, pas des acteurs. Mais la situation n'était plus la même qu'avec la rombière friquée. Cette femme portugaise, modeste, ne demandait rien. Du moins en apparence. Mais le regard qu'elle portait sur le majestueux pénis de Marc était éloquent. Celui-ci prit la décision de se relever et de lui brandir son engin devant son visage, pour voir comment elle réagirait. Karine l'approuva du regard (il est vrai qu'elle avait déjà frotté le pénis du handicapé tout en se faisant prendre par Marc en levrette). Avec précaution, la Portugaise prit le pénis dans ses doigts et le porta à sa bouche. Sa langue fit d'abord le tour du gland puis, résolument, elle l'engloutit, pompant avec ardeur. Marc pétrissait ses seins gros comme ...
... des coussins. Pendant ce temps, Karine la déshabillait entièrement et vint glisser son mufle entre ses cuisses. Léchée en bas, suçant en haut, calée dans son fauteuil club, très ouverte, la femme de ménage, absolument nue, connaissait pour la première fois de sa vie le plaisir du trio, dont elle était le centre. Puis Marc la prit par la main et la dirigea vers le canapé où il la fit mettre à genoux. Son vaste postérieur, avec une raie longue et profonde, s'offrait à sa bite. Il réfréna son envie de la sodomiser, jugeant l'acte prématuré, et se contenta de la pénétrer vaginalement en la tenant par les hanches. La Portugaise se mit à roucouler en proférant des mots inintelligibles mais le balancement de ses hanches généreuses parlait pour elle. Encouragé, Marc martelait le plaisir dans la vulve trempée de la femme de ménage. Le clapot des deux sexes joints et le claquement des peaux se conjuguaient avec les râles de la Portugaise, dont les gros seins ballants jouaient une samba effrénée sous les assauts. Karine prit l'initiative de lui caresser le clitoris pendant que son compagnon limait et les vocalises de la récipiendaire se haussèrent d'un ton très net. Le notaire, la braguette ouverte et le sexe dans une main, s'approcha et fit face à son employée : - Regarde moi. Tu baises, hein, ma petite Amalia ? - Oh oui, oh oui ! - Dis que tu baises ! - Oui oui je baise ! - Tu es vengée de ton mari, hein - Oui oui ! - Tu l'aimes sa bite ? - Oui oui ! - Dis que tu aimes sa bite - J'aime ...