Marie-Laure 2 (partie 2)
Datte: 09/07/2021,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... accompagner mes mouvements avec son postérieur. C'était très bon, et je pris mon pied. Je mis de longues secondes à comprendre que quelque chose n'allait pas : j'étais entrain de sodomiser Marie-Laure, et pourtant de plus en plus, c'était elle qui avait le contrôle en bougeant son cul. C'était à en devenir fou ! Je tâchai de reprendre totalement le contrôle en la baisant encore plus vite, mais tout ce que je parvins à faire, c'est à me fatiguer. Marie-Laure en profita pour me repousser, se retourner, et me plaquer contre le matelas. Je tâchai de me débattre, de la renverser, de reprendre le dessus. Rien n'y fit. Marie-Laure repoussa toutes mes tentatives, un sourire narquois aux lèvres. Je dus arrêter au bout d'un moment : c'était fini, j'avais perdu. Satisfaite, Marie-Laure s'empala une énième fois sur mon sexe. « Tu t'es bien battu chéri, mais t'as perdu. T'as tout tenté, mais tu peux rien contre moi, je te l'ai dit, t'es pas à la hauteur. Maintenant je vais te baiser et quand ça sera fini, tu seras comme les autres, à mes pieds... » Et une fois de plus, elle se mit à me baiser. Mais cette fois ci, elle n'alla pas tout de suite à un rythme élevé destiné à me mettre KO. J'étais déjà vaincu, et elle le savait, elle n'avait plus qu'à savourer tranquillement sa victoire. Aussi, elle se mit à me baiser doucement, allant de gauche à droite sur un rythme lent, mesuré, prenant lentement possession de moi. Elle me regardait droit dans les yeux, en s'activant doucement. Le plaisir ...
... montait doucement en moi, mais il montait. Je mis mes mains derrière ma tête, tout en regardant Marie-Laure. Le message était clair : je capitulais bel et bien, et me laissais complètement faire. Marie-Laure se mit à presser ses énormes seins devant moi, désirant probablement m'offrir une belle image. C'était réussi. Elle se mit ensuite à aller d'avant en arrière, en accélérant légèrement le tempo. Je me mis à lui caresser les fesses, histoire de l'encourager. Marie-Laure fit courir un de ses doigts le long de mon torse, me griffant longuement et délicieusement, j'en frissonnai de plaisir. Puis soudain, sans signe avant coureur, elle se mit à me baiser sauvagement. Elle me culbutait violemment, et sur son matelas à eau, j'en était ballotté de tous les côtés. Nous nous mîmes tous deux à gémir comme des fous, tandis que Marie-Laure intensifiait encore le rythme de sa baise. Ses énormes seins étaient secoués de partout, c'était délicieux, et le plaisir montait, montait. « Oooh putain qu'est ce qu'elle est bonne ta queue ! » cria Marie-Laure en s'activant toujours plus. « Appelle moi maîtresse ! » lança-t-elle. En temps ordinaire j'aurais refusé, et il aurait fallu user de persuation. Mais là je n'étais plus en état de lui refuser quoique ce soit : « c'est bon ce que tu me fais maîtresse ! » criai-je. « Plus fort ! Répliqua-t-elle. » « MAITRESSE ! » hurlai-je de toute la force de mes poumons. Marie-Laure eut un air triomphant, et s'activa encoure plus, bondissant sur mon sexe. Le ...