Son foutre en apéro (2)
Datte: 11/11/2017,
Catégories:
Gay
... attention, du coup je le pénètre de quelques centimètres, puis je fais une pause afin de laisser son cul s’habituer à ma bite. Une fois fait, je m’enfonce un peu plus, le tout, en lâchant des râles de plaisir. Alanzo de son côté gémit comme un fou, c’est presque abusé. Je finis par rentrer mon sexe entier en lui, et entame de lents va-et-vient. Il me gueule: — Baise-moi plus fort ! Il est taré aujourd’hui ! J’accélère la cadence, et commence à lui marteler le cul avec ma bite. Je lui attrape fermement les hanches et lui enfonce mon sexe bien profond. Une fois en place, je le défonce bien comme il faut, avec de petits mouvements rapides. Il crie comme un malade, à un tel point, que je me suis quand même demandé comment le faire taire. J’aurais pu lui mettre un coussin sur la tronche, mais j’ai eu peur de l’étouffer. On change de position, pour se retrouver en cuillère, je profite de pouvoir attendre sa bouche, pour lui plaquer une main devant, et avec l’autre, je me mets à le branler. Je l’entends toujours gueuler, et je me dis que merde, il faut que je me lâche, on s’en fout des gens présents dans la salle d’à côté. Je lui attrape les épaules, et le plaque contre moi, pour être plus proche encore, pour que nos deux corps ne fassent plus qu’un. Je fais une pause pour ne pas terminer trop vite, et j’en profite pour l’embrasser. Il se met à onduler, et je sens son trou se contracter sur ma queue, c’est à mon tour de gémir, c’est vraiment trop bon. En deux secondes, il se ...
... retrouve sur moi, et c’est lui qui me baise. C’est toujours le "passif", mais c’est lui qui prend tout en mains avec une activité débordante. Il m’attrape à la gorge, et me regarde prendre mon pied. Je ne tiens plus, et il le sait. Je lui demande dans un souffle: — Ralentis un peu. — Non, débrouille-toi pour tenir jusqu’à ce que je jouisse. Je commence tout de suite à le branler. Il gémit toujours très fort, et ce n’est pas pour m’aider. Moi aussi je me mets à gueuler. Je ferme les yeux, et j’essaie de ne pas céder à la vague de plaisir qui me submerge. Il se baise fort, et à chaque va-et-vient, rentre ma bite bien comme il faut dans son cul qu’il resserre. Je le préviens: — Je vais venir. Il se penche sur moi, et nos deux torses rentrent en contact, il ne m’en a pas fallu plus, pour envoyer plusieurs grosses giclées de sperme bien profondément en lui. Les contractions de ma bite l’ont fait venir à son tour, et il a joui avec une telle force, qu’il s’est débrouillé pour m’en envoyer quelques gouttes en plein visage. Je récupère le tout, et lui glisse mes doigts dans la bouche. Il avale son propre foutre, et se pose de tout son poids sur moi. Je sens que mon sperme est en train de sortir de son trou, et glisse le long de ma queue encore un peu dure. On s’est un peu reposé, puis on s’est rhabillés avant d’aller rejoindre les autres. On allait franchir la porte quand Alanzo m’a sorti: — J’ai mal au cul quand même... Je n’ai pas pu m’empêcher de rire, et aussi tordu que ça puisse être, ...