Le chef de ma copine
Datte: 09/07/2021,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
... aréoles... Alors, pourquoi pas ? Comme dit, le proverbe faute de grives, on mange des merles... Et là comme disait Marion c'était un chaud lapin... « Tu me racontais qu'il adorait les dessous sexy, tu lui as montré que tu en portais ? - Heu... Oui et non... - Dis, tu as toujours ce pull, avec lequel tu avais montré tes tétons aux magasiniers ? Tu peux me le prêter ? - Oui... Mais tu as décidé de t'attaquer à ce vieux grigou... Me dit-elle en pouffant de rire ! - Oui... Je crois que je deviens une vraie nymphomane... Il reste assez tard le soir non ? » Le lendemain matin, elle m'avait apporté le pull bleu ciel avec des mailles assez larges, il moule parfaitement les seins, me dit-elle. Je l'essayais. Nous faisions la même taille, même si sa poitrine était un peu plus grosse que la mienne l'élasticité du tissu plaqua le vêtement sur mes seins, les moulant à la perfection. Sans aucune peine, je fis passer sans difficulté mes deux petites pointes brunes à travers les mailles. Les bonnets de mon soutien-gorge seins nus, rehaussait parfaitement le galbe de mes seins. Je me regardais dans le miroir de mon vestiaire, la couleur des tétons tranchait sur le bleu pâle du pull, on ne pouvait pas les rater ! Je les étirais le plus possible, ils dépassaient d'au moins 2,5 cm. Parfait... Après 17 heures, la majorité du personnel était sortie. Il me fallait traverser la cour pour me rendre dans le bureau, j'avais mis au point une histoire de facture impayée... Au cas où... J'enfilais une ...
... veste que je ne boutonnais pas, mis mes tétons en place, les trituraient pour bien les raffermir... et sortis dans le froid, je frissonnais la veste et le pull n'étaient pas bien épais. Ce qui fit raffermir encore plus le bout de mes seins. Arrivée devant le bureau, avant de frapper, je pendis ma veste à une patère. Je jetais un coup d'oeil a mes bouts turgescents parfait... Le froid les avait maintenus en érection. Je toquais et entrais : « Brrrrrr, il fait un froid de canard dehors, dis-je en lui tendant la main... j'en ai la chair de poule !! - Oui, je vois... Mais pas que... » Son regard s'était fixé sur ma poitrine, ses yeux brillaient. Je baissais les yeux sur mes seins. « Oooooohhhhh. Les coquins, ils ont eu tellement froid qu'ils se sont faufilés entre les mailles de mon pull... » Je tendis la main, comme pour saisir mon pull et les remettre dessous en y tirant dessus... « Nooooonnnnnn , laisse les ainsi !! » Me dit-il d'un ton autoritaire. J'obéis en le regardant langoureusement. « Ils sont tellement jolis... Tu sais l'autre jour à l'informatique, avec Maxime, je ne sais pas ce que vous fabriquiez, mais ton pull plaquait tellement sur tes seins qu'il ne cachait rien et tes tétons étaient aussi longs qu'aujourd'hui. Je m'étais fait la réflexion qu'il fallait qu'un jour ou l'autre, je puisse admirer ta poitrine ! Et je pense que ce jour est arrivé non ? » Il se leva, passa derrière moi, ferma la porte à clef. Je m'étais tournée pour voir ce qu'il allait faire, il revint ...