Quand on tire le diable par la queue (6)
Datte: 11/11/2017,
Catégories:
Partouze / Groupe
... bien partager notre couche, du reste je le prête parfois à Sasaya quand elle est nostalgique. Rien de tel qu’un bon coup de gros gourdin dans la cheminée pour se remettre les idées en place. Mais pour Jean, il te faut voir avec Jean et Sasaya, ils sont en couple maintenant, mais je pense qu’ils seront probablement très intéressés de refaire le coup du triangle des Bermudes. C’est ainsi que le soir même, Rita et Éric accueillent dans leur lit Maryse très impatiente de se faire ramoner la cheminée, c’était moins une avant l’incendie et Éric fait la remarque : – C’est vraiment super de niquer avec une fille qui n’a plus connu de vrais bites depuis un moment, l’étui est vraiment parfait. J’ai presque l’impression de m’offrir ta virginité tellement c’est serré. – Je ne te dis pas comment je la sens passer, là, je te sens super bien en moi, je sens que je vais venir. Hum, tu peux rester, maintenant, je prends la pilule anticonceptionnelle, donc tu ne risques pas de mettre en cloque et j’aime sentir les jets qui me tapissent les ovaires. Viens et arrose ma matrice de ton bon jus de couilles. – Tiens, Han ! Dit Éric en plantant le plus profond possible son énorme pieu dans cette jolie petite craquette qui souffre un peu de se faire dévaster de la sorte. – Laisse moi récupérer un peu de cette crème de mon chéri lui demande Rita, une fois que Éric, les couilles essorées, bascule de coté Rita avance sa langue vers le con de Maryse qui relâche les surplus surabondants de l’armée de ...
... spermatozoïdes en déroute devant le refus des ovaires de se laisser envahir. La guerre du guignol dans le tiroir n’aura pas lieu. Pendant ce temps là, à l’étage, on entend Sasaya qui crie son bonheur sous la langue de Jean qui lui ripoline la crapette et se régale des fruits sauvages, jusqu’à en avoir l’indigestion. Finalement la langue repue, il dirige sa fusée à tête chercheuse vers le compas de son nouvel amour et la besogne soigneusement. – Je vois que Jean est toujours aussi adroit à déguster l’escalope à moustaches, je n’ai connu qu’un homme qui rivalisait avec lui, c’est Richard, là, chapeau, il est tenace dans ses entreprises et ne te lâche que quand tu as grimpé deux fois aux rideaux sous sa langue diabolique, On voit qu’à coté du séminaire, il a fait aussi les langues anciennes et nouvelles à l’université. – Au fait, je ne t’ai pas dit que Martine a fait un beau garçon et les deux sont vraiment très pris par ce petit bout de choux. Dès qu’il sort de la construction, Éric passe son temps à pouponner son petit fils et Jean lui emboîte le pas. – Et Jasmine, comment se passe sa grossesse ? – Cela commence à devenir pénible, mais je pense que tous se passe bien, souvent Sasaya est vers elle pour lui aider et prendre des conseils, quoique je ne me fais pas de soucis pour elle, les indiennes sont vraiment faites pour porter des enfants de par leurs cultures. Martine est bien remise de ses couches, elle réclame un deuxième bébé avant qu’il ne soit trop tard, mais avant elle veut ...