1. La galère


    Datte: 11/11/2017, Catégories: hh, hhh, jeunes, extracon, inconnu, telnet, collection, volupté, Masturbation facial, Oral 69, préservati, hdanus, hsodo,

    ... Lille : étroite, en briques rouges, 3 étages, de grandes fenêtres, des embellissements flamands. La porte avait oublié d’être vernis depuis quelques siècles. Jean introduisit une clef et fit jouer la serrure. Nous pénétrâmes dans un petit couloir dallé de carrelages colorés, éclairé par une faible ampoule et une porte vitrée au fond qui semblait donner sur une cour. Il y avait un vélo posé contre le mur à côté d’une autre porte qui devait donner sur l’appartement du rez-de-chaussée. Un étroit escalier permettait d’accéder aux étages. Cela sentait un peu le moisi et le vieux chou. « Ce n’est plus très long, c’est au premier ». L’escalier grinça. Les marches étaient un peu tordues et petites. J’avais peur de glisser et de tomber. Bientôt arrivé, Jean déverrouilla une porte qui portait les traces évidentes d’effraction. Il tourna un commutateur et une lumière jaune et poussiéreuse éclaira un vestibule encombré de vestes, de chaussures et de cartons. Un peu inquiet, je pénétrai dans les lieux. Il me désigna un des quatre portes qui s’offraient à ma vue. Une des portes comportait une vitre dépolie et les deux autres était fermées. C’était la chambre. Très petite, éclairée par une grande fenêtre qui donnait sur la cour, elle était encombrée par un lit à deux places, une grosse armoire avec un miroir et deux tables de nuit. Le lit était fait et recouvert d’une couette d’un vert salade uniforme. Je m’assieds au bord du lit. Il retira son blouson et s’assit à côté de moi. Il plongea ...
    ... ses yeux dans les miens et me dit en souriant « il faut te mettre à l’aise maintenant ». Il déposa sur mes lèvres un baiser très doux. Il se leva et fit glisser son pull et son tee-shirt. Sa ceinture défaite, son jean tomba sur le sol. Il ne portait pas de sous-vêtement. Il n’avait pas un corps d’athlète mais il était costaud et un peu musclé. Un peu de duvet grisonnant recouvrait son torse. Sa toison blonde encadrait un sexe aux proportions respectables et généreuses. Il avait les hanches larges et les fesses rebondies. « alors ? » me dit-il … Je me levai et j’enlevai à mon tour mes vêtements que je posais dans un coin. Nous étions nus face à face, prêts à se donner le plaisir que nos sexes à peine tendus promettaient. Jean s’approcha de moi pour m’enlacer. Je me perdais dans le bleu de ses yeux et il m’embrassa très délicatement. Je lui rendis son baiser. Puis il m’embrassa plus longuement et plus passionnément. Sa langue toucha la mienne. Je sentis la petite décharge électrique familière sur le bout de mon sexe que je sentis enfler immédiatement. Il me caressa les hanches et le dos, pendant que notre baiser se faisait de plus en plus sauvage et que je malaxai ses fesses. Son sexe se tendait un peu plus et je le sentis se cogner contre le mien. Nos bouches s’avalaient l’une l’autre tellement rapidement qu’il poussa un petit grognement de plaisir. Il me plaqua contre lui et nos mains pétrirent nos corps, déployant des vagues de plaisir qui nous faisaient frissonner. Il se mit ...
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