Ma vie de libertin/Les filles du minitel et du net/Diane/Rencontre surprise
Datte: 10/07/2021,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
La semaine passée, je me suis rendu à Paris pour assister à l’assemblée générale de délégués de l’association de retraités dont je fais partie. Dans la mesure où je savais par avance que cela risquait de se terminer tard, j’avais retenu une chambre dans un hôtel que je connais bien non loin de la Porte de Bagnolet. Les travaux de l’assemblée se sont déroulés toute la journée et lorsque j’arrive dans ma chambre vers 23 h 00 après un repas léger dans un restaurant japonais, je me demande soudain comment je vais terminer ma soirée. Il est encore trop tôt pour dormir, il est trop tard pour revenir sur les Champs assister à la dernière projection de film… Il y a une vingtaine d’années, lorsque je vivais en région parisienne, je fréquentais de temps à autre les clubs libertins de la Capitale. J’ai opté pour cette solution, retourner dans des lieux que je connais bien. Déjà âgé, je suis désormais un vieux barbon, toujours friand de jolies femmes que je contemple le plus souvent avec un désir non dissimulé. J’aurai ainsi la chance de mater des jolies filles en train de s’ébattre joyeusement dans ces lieux que certains qualifient de lieux de débauche alors que pour les libertins, ce sont des lieux de partage et de convivialité, et qui sait… l’une d’elle succombera peut-être entre mes bras ! Au centre de Paris, j’ai le choix entre plusieurs établissements pas trop éloignés les uns des autres et facilement accessibles en Métro. Celui de la rue de Richelieu est ouvert ce samedi aux ...
... hommes seuls. Dès l’entrée, je peux découvrir combien le décor a changé, mais la fréquentation est toujours la même, des couples entre 30 et 50 ans, des femmes seules, généralement très jolies qui n’ont pas froid aux yeux et qui s’exhibent sans vergogne dans des cages ou dansant à la perche. A près de minuit, la soirée semble bien lancée, depuis le bar où je sirote un bon whisky, je peux voir que presque tous les coins câlins sont occupés. Un trio de filles légèrement vêtues – jupette très courte ras la touffe et débardeur très échancré - se trémousse sur la petite piste de danse, ce ne sont que frôlements, caresses et autres embrassades. Bientôt les vêtements tombent les uns après les autres et lorsqu’elles sont nues, le pubis simplement couvert par le triangle du string, elles ramassent leurs affaires et s’éclipsent dans une alcôve qui est libre. Je vais les regarder pendant quelques instants pendant qu’elles se mangent mutuellement la chatte. Le spectacle est excitant au possible et j’ai la bite bientôt raide dans mon boxer. Au moment où je vais m’approcher, espérant que l’une d’elles voudra bien me faire une petite gâterie, trois hommes qu’elles semblent connaitre les rejoignent. Je retourne alors vers le bar où j’aperçois une silhouette que je reconnais, une blonde aux formes sculpturales, cheveux longs, fessier bien rebondi et ce petit tatouage coquin sur la hanche droite : C’était Diane, ma belle complice. Elle était accompagnée d’une brune avec de jolies formes également ...