L'amour, c'est aussi des pratiques
Datte: 10/07/2021,
Catégories:
fh,
Oral
fsodo,
lavement,
scato,
confession,
couple,
Nous pratiquions la fellation, mais il nous importait surtout d’obtenir son vomissement, plus que mon éjaculation. Elle le voulait franchement, obstinément. Et, pour ce faire, elle avalait une préparation à base de lait, toujours la même, qu’elle rendait ensuite presque intégralement. Nous nous installions dans la baignoire ; elle s’asseyait et ouvrait la bouche. Je m’y engouffrais et poussais jusqu’au fond de la gorge. Elle commençait par suffoquer, au point que je lui demandais du regard si je devais m’arrêter ; aussitôt un sourire de sa part m’encourageait à continuer. C’est vrai, quand j’y pense, qu’il n’y avait jamais aucun mot, aucune parole échangée, comme si nous procédions à une opération clandestine. Cela pouvait durer dix à quinze minutes, et puis un filet de bave blanche s’écoulait sur ses seins. Ensuite, par saccades, le vomissement éclaboussait tout sur son passage et se ruait sur son sexe entrouvert. J’en étais couvert également du bas-ventre jusqu’aux pieds. Une odeur âcre se répandait, mais aucune nausée ne nous prenait. Elle jetait en même temps des cris rauques, sauvages. Elle devenait très pâle, mais si je faisais mine de me retirer, c’est elle qui allait au-devant de l’obstacle et qui s’enfonçait mon sexe avec une réelle rage au plus profond de sa gorge. Puis, le flot se tarissait, elle reprenait son souffle et des couleurs. Et, ému par tout ce qu’elle m’offrait d’énergie et d’abandon, je prenais mon plaisir avec modestie. La douche venait ensuite tout ...
... effacer. Un soir qu’elle ne portait qu’une chemise prise dans mon armoire, elle apporta sa mixture et me montra qu’il s’agissait en fait d’un lait de poule, une boisson où se mêlent lait, crème, jaune d’œuf, un peu de cannelle… Je m’expliquai alors le doux parfum qui imprégnait la salle de bain pendant plusieurs heures. Je m’attendais à ce qu’elle le boive comme d’habitude dans un rituel qui me causait à chaque fois une réelle émotion. Mais ce soir-là, non. Rien qu’un sourire plus provoquant que d’habitude. Elle quitta la pièce et revint quelques secondes plus tard avec un entonnoir relié à un tuyau, lui-même terminé par une canule. Je restai ébahi et craignais de comprendre trop vite. Ces accessoires sont si connus qu’ils ne laissent pas la place au moindre doute. Au lieu de me mener à la salle de bain, elle me prit par la main et me conduisit à la cuisine. Elle s’installa sur la table dans un cérémonial absolument rigoureux. Elle avait répété ses moindres gestes et avait trouvé une façon quasiment poétique de se glisser dans une position agenouillée, puis à quatre pattes sur cette table. Elle avait même pensé à un petit oreiller pour y poser la tête, ce qui lui donnait un air de Belle au bois dormant. La chemise retombait sur ses fesses, comme le rideau sur la scène d’un théâtre. Je remarquai une potence avec un petit cercle de fer où je devinai qu’il fallait placer l’entonnoir. Désormais, elle avait atteint cette immobilité qui est presque un défi au temps. Je savais bien ...