1. Tante Gisèle, maman, et les autres... (21)


    Datte: 11/07/2021, Catégories: Partouze / Groupe

    Chapitre 21 : Orgie au bureau Un jour, en fin d’après-midi ma mère m’appelle pour que je passe la prendre à son travail. Elle sera dans le bureau de son patron qu’elle est en train de ranger. Pour bien comprendre ce qui va suivre, voici ce qui s’est passé avant que je la rejoigne et qu’elle m’a raconté par la suite. *********** Je suis en train de fermer mon bureau lorsque le téléphone sonne. C’est mon patron qui me demande de le retrouver dans la salle des conférences. Compte tenu de nos nouvelles relations depuis qu’il m’a surpris en train de tailler une pipe à mon fils, je me dis qu’il va encore abuser de moi, comme il le fait assez souvent. Maintenant, quand j’arrive au bureau et qu’il est dans le sien, l’interphone clignote et il aboie. — Diane, apportez moi un café ! Ce que je m’empresse de faire rapidement avant qu’il attire l’attention de mes collègues. Quand il déguste lentement son café, moi je déguste sa queue qui est déjà sortie quand je rentre dans son bureau. Souvent il me dit. — Suce-moi bien…comme tu suces ton fils, salope ! Blandine a quand même remarqué que la pause-café dure plus longtemps qu’auparavant et quand je sors du bureau, elle me regarde avec un drôle d’air et avec un petit sourire. Elle me lance souvent une vanne du genre… — Alors, Diane, le patron est en pleine forme… Bref, lorsque j’arrive devant la salle des conférences, mon patron m’attend et dès que je suis près de lui, ses mains passent sous ma robe et il s’exclame. — Oui ! Parfait ! Tu ...
    ... as mis des bas et une jarretière. Voyons voir. Il soulève ma robe et me la passe par-dessus ma tête pour la retirer. — Mais, qu’est-ce que vous faite ! — Chut ! Tu es sublime. Diane j’ai besoin de toi pour conclure un marché important. Tu vas être très gentille et faire ce que je te dirais. J’ai des clients à satisfaire et tu toucheras une prime exceptionnelle. Il sort de sa poche un bandeau qu’il m’attache sur la tête. — Je ne veux pas t’entendre avant que je t’en donne la permission. Et il me pousse dans la salle de conférence. Je ne vois absolument rien mais j’entends des murmures de plusieurs personnes et mon patron qui dit. — Je vous présente ma secrétaire très particulière. Comment la trouvez-vous ? — Superbe ! — Magnifique ! — Merveilleuse ! Ils sont trois ! Trois hommes me regardent à moitié nue, offerte par mon pervers de patron. Celui-ci me tire vers la table et me prenant dans ses bras, il me pose dessus. — Diane, retirez votre soutien-gorge. Comme une idiote…ou une vulgaire pute, je le dégrafe et je fais passer les bretelles le long mes bras pour le laisser tomber. — Whaou ! Quelle paire de seins ! S’écrit un des hommes. — Enlève tes bas, Diane. Ordonne mon patron. Je les dégage de la jarretière et un par un, je les roule sur mes jambes en me penchant mettant ainsi mes seins en suspension. — Ooohhh…putain… Mate ses lolos ! Murmure un autre homme. — Qui veut lui retirer sa petite culotte ? — Moi ! Crient en cœur les clients de mon patron. — Allez-y, mais soyez ...
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