L'âge ne compte pas
Datte: 11/07/2021,
Catégories:
fh,
2couples,
hagé,
couple,
extraoffre,
vacances,
Oral
69,
pénétratio,
hsodo,
attache,
confession,
entrecoup,
... devenue un réceptacle de la salive qui s’est mêlée à sa propre mouille. À cela il faut ajouter les grognements indistincts de Marie que sa voix étrange rend encore plus « bestiaux ». Spectacle que je ne peux quitter des yeux alors que la bienséance devrait me faire fuir pour revenir plus tard. Mais je ne peux pas, scotché de cet amour partagé que le lieu rend surréaliste. Mais est-ce un bruit de ma part ou plutôt l’ombre que le soleil projette de moi dans la pièce, toujours est-il que Marie me découvre. Le voyeur que je suis cherche déjà une excuse, la plus banale étant que c’est de leur faute et qu’ils ont une chambre pour cela ; mais Marie qui me voit ne fait que me sourire avant de retourner à son plaisir. Un long sourire qui me tue. C’est pas possible, elle n’a pas réalisé, son cerveau n’a pas identifié la silhouette que je suis, entièrement consacrée à la gestion du plaisir. Pourtant, comme Pascal la bourre de plus en plus vite, elle appuie son visage sur le bois du bar, et maintenant elle est franchement tournée vers moi. Elle ne sourit plus vraiment mais je sais qu’elle me voit. Quel moment extraordinaire où certains n’y verraient qu’une scène de cul, mais que moi je vis par procuration. Un instant, je suis dans la tête de Marie alors que son regard et son visage me transmettent toutes ses sensations. Je vois bien que Pascal est au bord de la jouissance. Chaque avancée déclenche une lueur dans ces yeux bleus qui ne me quittent plus. C’est beau. Je n’ai plus besoin de ...
... voir le baiseur, chacune de ses actions s’inscrit sur le visage. Il jouit. Les lèvres s’entrouvrent pour laisser sortir un soupir. Elle jouit, ses paupières se ferment comme pour se concentrer sur l’orgasme qui déferle. Je m’éclipse discrètement. J’attends quelques minutes, et cette fois-ci j’entre par la porte d’entrée. Tout paraît normal. Tous deux installent le couvert. Après les salutations d’usage, nous déjeunons. Je commence à m’habituer à parler bien en face de la femme si je veux minimiser les échanges par signes avec le mari. Marie part à la salle de bain. Je reste seul avec Pascal. — Je suis désolé. J’espère qu’on ne vous a pas choqué. Marie m’a dit que vous nous aviez surpris dans la cuisine C’est Pascal qui me parle tout en m’aidant à ranger. — C’est à moi de m’excuser… surtout que je me suis permis de rester un moment.— Mais c’est bien normal. Qui vous jetterait la pierre ? Donc, vous ne nous en voulez pas. Après tout, nous sommes chez vous et… c’est de ma faute. En arrivant dans la cuisine, Marie était si désirable que…— Rassurez-vous, ce sont des choses qu’un homme comprend. Mais moi, j’espère ne pas avoir troublé votre femme en regardant.— Oh, pas du tout, soyez rassuré. Au contraire.— Au contraire ?— C’est une situation que nous aimons bien. Je dois avouer que nous sommes un peu exhibitionnistes. Vous n’avez jamais essayé ?— Non.— Essayez une fois, vous verrez : c’est tonifiant. Notre conversation est interrompue par l’arrivée de Marie, à peine voilée par une ...