L'âge ne compte pas
Datte: 11/07/2021,
Catégories:
fh,
2couples,
hagé,
couple,
extraoffre,
vacances,
Oral
69,
pénétratio,
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attache,
confession,
entrecoup,
... mari la sodomise, poussant sa tige ardente et grasse dans les entrailles de sa femme. J’en ressens la progression, serpent gagnant millimètre par millimètre le droit de se faufiler et avancer en appui sur ma propre queue. Il termine sa progression par un dernier coup de reins, heurtant de ses couilles les deux boules qui sont les miennes. Décidément, c’est une journée à marquer d’une pierre blanche ! Ce sont des jeunes qui m’initient à ces pratiques de partage et de positions à trois. Maintenant qu’elle est pleine de nos bites, l’angélique Marie semble se transformer en démon. Elle se soulève un peu et j’ai en face de moi un visage déformé par ce qu’elle vit. Elle se baise sur nous. Elle ondule autour de notre vaisseau à deux mâts, arrachant à l’un comme à l’autre des gémissements de plaisir. Mais elle reste silencieuse. C’est son visage qui parle pour elle. Malgré mon plaisir, j’essaie d’en être le traducteur et être attentif. Chaque muscle, chaque ride qui apparaît et disparaît aussitôt, chaque rictus, chaque coulure de salive que les lèvres ne cherchent même plus à contrôler sont des messages. Je voudrais pouvoir la filmer et me repasser plus tard ce moment magique. Lorsqu’elle jouit. Lorsque je l’inonde. Lorsque son mari la termine avec force. Nous avons passé la nuit ensemble, dans ma chambre, dans le même lit, et le matin en me réveillant j’éprouve le besoin, comme après chaque événement marquant de ma vie, d’aller faire « suer la bête ». Je me lève sans bruit. Il fait ...
... nuit noire dans la pièce, mais je m’esquive discrètement. La porte franchie, le soleil m’éblouit. Dans la cuisine, je constate que Marie m’a suivi. Elle aussi n’est pas fraîche ; au moins cela me rassure et je me sens moins seul. Je lui propose un footing. Elle va s’équiper. Nous partons chasser les excès de la nuit. Après ce petit footing, en rentrant je me dirige directement vers la douche et Marie va rejoindre Pascal que nous voyons en train de faire du café dans la cuisine. Lorsque je les rejoins, je tombe des nues car je découvre Armelle, ma femme, assise, une tasse à la main, plongée dans ses pensées. Avant qu’elle me voie, je constate qu’elle est en peignoir et que mes invités ne cessent d’échanger des signes en lui jetant des regards. Étrangement, ils sourient ; mais lorsqu’ils constatent ma présence, l’ambiance change. — Armelle ? Mais qu’est-ce que tu fais là ? À ma voix, elle relève la tête, me découvre, et avec un sourire pincé répond : — Je suis venu te faire une petite surprise. À son ton, je comprends qu’elle a découvert mon aventure avec mes invités. Que faire ? Que dire ? M’excuser ? Prétendre que je n’y suis pour rien ? — Ah ! Voilà ce que je dis pour ma défense. — Oui. J’ai pensé que je te manquais comme tu m’as manqué.— Armelle, je…— Non, ne dis rien. Écoute-moi.— On vous laisse, lance Pascal qui entraîne Marie et quitte la pièce. Ils me laissent avec mon problème. Armelle les suit du regard et reprend : — Donc, j’ai roulé toute la nuit. Comme je voulais ...