Femme BCBG, escorte, non, pute… (50)
Datte: 11/07/2021,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Alors que tout le groupe est sur la terrasse, les jumelles sont absentes. Madeleine est avec Sindy. Je monte vers leur chambre, elles sont là. Elles me sautent au cou. Anne sort d’un petit sac sa liasse de billets et me les montres fièrement. • Tu sais Christine, Virginie, à garder la mallette où il y a vingt mille euros pour chacune. • Oui, petit bouchon, je sais tout, elle m’a raconté vos exploits. Pour la mallette, vous n’avez rien à craindre. De retours ont Paris, nous vous ouvrirons un compte à chacune et l’argent comme par miracle venant d’endroits différents du monde pour éviter les soupçons, vous les retrouverez. Aline, tu as aimé ces soirées. • Oui bien sur, surtout que nous étions toutes les deux avec Anne. • Virginie m’a dit que vous vous étiez fistées devant les clients, faites vous cela depuis longtemps. • Depuis notre jeunesse, nos parents pour éviter de nous séparer nous faisaient coucher dans le même lit. À l’âge des premières découvertes, nous étions en été et il faisait chaud, nous avions pris l’habitude de coucher nues. Souvent nous dormions dans les bras de l’autre. Une nuit de pleine lune, la fenêtre était ouverte et nous cherchions désespérément le sommeil, la main d’Aline était placée sans le vouloir sur mon sexe. Nous commencions à avoir des poils qui poussaient sur chacune d’entre nous ainsi que nos petits seins qui se formaient. Nous avions même inventé un jeu, nous comptions chaque jour combien chacune en avait de plus que la veille. Ces premières ...
... caresses, lorsque nous comptions, nous ont fait prendre conscience des évolutions de cet endroit. Cette nuit-là, Aline a avancé sa main sur ma chatte, elle m’a caressé, j’ai senti une boule qui montait en moi. Naturellement, j’ai ouvert mes cuisses. Elle a fait entrer un doigt dans ma minette. La boule grossissait. Lorsqu’elle en a introduit un deuxième, cette boule a explosé, j’ai crié tellement fort que j’ai eu peur d’avoir réveillé nos parents, qui heureusement couchaient à l’opposé du garage. Afin d’éviter de laisser Aline sur le bord du chemin, j’ai voulu lui faire de même. Elle m’a pris par le cou et a guidé ma bouche sur ma petite chatte. À la fin de la nuit, je connaissais tout de ma sœur, du fond de sa bouche que je venais d’explorer à sa petite fente que ma langue avait perforée. Plus je la léchais ou que je lui mettais ma langue, plus elle se tortillait et plus sa bouche émettait des râles jamais entendus depuis le début de notre courte vie. Plus ses râles augmentaient, plus sa fente déversait sur ma langue des sucres odorants et délicieux à boire. Aline mutine, comme elle l’a toujours, à commencer à pivoter pour être à la hauteur de sa convoitise. Sa tête s’est nichée sur mes parties intimes et m'a fait la même chose que je lui faisais subir. Nos jouissances sont parties en même temps dans nos bouches qui ont atténué nos cris. • Aline, comment as-tu su qu’il était possible de sucer un ou une partenaire. • À oui, une copine qui est en fac, est venue se vanter qu’un ...