1. Ma Vie Ch. 01


    Datte: 11/07/2021, Catégories: Inceste / Tabou

    Cette histoire a commencé le jour de mon 18eme anniversaire. Ma mère avait fêté ça en me faisant un gâteau d'anniversaire et en m'offrant une montre. Nous avions un peu abusé du champagne et je me sentais un peu saoul à la fin de la soirée. Cela avait été un bel anniversaire Ma mère et moi étions très proches. Nous vivions seuls depuis la mort de mon père quand j'avais 4 ans. Ma mère est une belle femme de 54 ans qui en faisait facilement 10 de moins. Je le sais par les blagues douteuse de mes copains et elle devait alimenter les fantasme de certains d'entre eux. Moi, j'ai du mal à juger, c'est ma mère. En entendant mes copains parler d'elle, j'avais essayé de la regarder avec les yeux d'un étranger. C'est vrai qu'avec ses yeux verts, ses cheveux auburn encadrant un visage agréable, et sa poitrine généreuse, elle devait plaire aux hommes. Pourtant, je ne lui avais jamais connu d'aventures depuis presque 15 ans qu'elle était veuve. Moi même, je ne suis pas très grand et assez frêle, ce qui ne facilitait pas mes relations avec les filles, et les quelques flirts que j'avais eu n'avaient jamais été très loin. Ça ne me manquait pas vraiment. Ce qui me gênait le plus, c'est que mes copains commençaient à se foutre de moi à ce sujet. Je compensais cette insignifiance physique par un don pour les mathématiques qui me procurait l'estime de mes congénères dont avait besoin mon ego. Le lendemain de mon anniversaire, Sonia vint à la maison. Sonia était une amie de ma mère. Elles ...
    ... s'étaient connues quelques mois auparavant et depuis, elles étaient inséparables. Elle devait avoir une quarantaine d'année et faisait au moins 1m80. Le mélange étrange de son corps de sportive et de ses formes pleinement féminines dégageait une sorte de 'puissance animale' qui me mettait toujours mal à l'aise en sa présence. Pour ne rien arranger à mon malaise, les relations entre Sonia et ma mère étaient étranges. Ma mère lui parlait toujours avec une sorte de déférence que Sonia avait l'air de trouver tout à fait normal, n'hésitant pas, parfois, à lui demander des choses avec un ton qui s'apparentait plus à un ordre qu'à une demande, bien qu'elle y mit toujours les formes. Bref, je n'aimais pas beaucoup Sonia. Elle vint me féliciter pour ma toute nouvelle majorité, me serrant longuement dans ses bras. Je me sentais comme un enfant, écrasé contre sa large poitrine. Elle ne portait visiblement pas de soutien gorge et je sentais légèrement sa sueur. À ma grande surprise, je me mis à bander. Elle ne me lâchait pas, me tenant toujours serré contre elle et je commençais à craindre qu'elle sente mon érection contre son ventre, et plus j''appréhendais ça, plus je durcissais. Enfin elle me lâcha et s'écarta de moi. Je ne sais pas combien de temps son embrassade avait duré, sans doute moins d'une minute, mais ça m'avait paru une éternité. Je me retrouvais là, comme un couillon , debout au milieu du salon avec un membre en pleine érection, devant ma mère et Sonia assises sagement sur la ...
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