L'INCONNU DU CINEMA (9)
Datte: 12/07/2021,
Catégories:
Partouze / Groupe
... muqueuses brillaient sous l’effet de l’abondante lubrification qui s’installait et mon doigt se sentait comme happé par ce gouffre profond. Je n’ai pu retenir l’envie de la visiter plus en profondeur, j’ai pointé mon doigt avec une légère pression pour qu’il puisse s’immiscer à l’intérieur et c’est avec une facilité déconcertante qu’il est descendu tout au fond. C’était chaud et humide, je ressentais les chairs qui me ceinturaient l’index comme pour emprisonner l’intrus, j’étais dans un trou vivant qui palpitait et vibrait à mon contact. Le conduit était bien serré sur mon doigt et je me demandais comment des chairs à l’apparence aussi fragile pouvaient recevoir de si gros diamètres, il me fallait découvrir cette subtilité. J’ai ressorti mon doigt plein de mouille, il brillait des sécrétions visqueuses et je l’ai donc essuyé sur la longueur de la fente sans omettre de badigeonner le petit bouton qui prenait déjà du volume. Ensuite j’ai représenté deux doigts face au trou encore ouvert de mon premier passage, appuyant doucement, les chairs s’ouvraient en épousant mes doigts qui plongeaient dans son corps. Là aussi, l’adaptation des muqueuses ma surprise, j’ai pu entamer quelques vas et vient si facilement que j’ai eu l’envie d’y mettre un autre doigt. En moins d’une minute j’enfonçais allègrement quatre doigts dans son conduit, seul mon pouce était encore à l’extérieur et ma main ruisselait de son jus intime. Là, son plaisir était évident, les yeux fermés elle se ...
... mordillait les lèvres tout en contractant les muscles de son corps. J’étais donc sur la bonne voie. Marc quand à lui, il s’était assis juste à coté de Marie, approchant de son visage de façon à pouvoir entendre le moindre soupir sortant de ses lèvres. Il ne me prêtait plus aucune attention, concentré sur le seul plaisir de Marie, son épouse, ce qui me faisait comprendre que je n’étais que l’instrument de leur plaisir. Malgré l’excitation, Marc dégageait une infinie tendresse en regardant sa femme, Il me fallait donc être à la hauteur de leur amour et leur permettre d’atteindre ensemble ce plaisir si convoité. Les doigts toujours enfouis dans sa chatte, j’ai eu envie de venir mordiller son petit bouton qui pointait de plus en plus hors de son capuchon. J’ai sorti ma langue pour la plonger dans la fente ouverte, puis je l’ai remonté doucement en fouillant les moindres recoins et en récupérant toute la cyprine possible pour bien huiler son clito tout rouge. L’acte me s’emblait facile, il me suffisait de reproduire avec plus de dextérité ce que mon mari me faisait parfois mais surtout de rendre la pareil à Marie qui m’avait fait jouir de cette façon l’autre soir. Ce premier contact de ma langue chaude sur son petit bout de chair tout dur lui a prodigué un agréable frisson et ma délivré le sentiment d’une première victoire. Comment pouvais-je créer un tel plaisir juste en posant ma langue sur un si petit bout de chair, cette réactivité était intrigante et aiguisait ma curiosité pour la ...