Théâtre pour adultes (1)
Datte: 12/07/2021,
Catégories:
Gay
On a réussi à se faire embaucher dans un club très privé, pour y présenter une mini pièce de théâtre. Il s’agit d’un vaudeville, un couple et un amant, pornographique. On est donc trois, je suis l’homme du couple (63 ans), ma compagne est bien plus jeune (39 ans). Le troisième comparse a la quarantaine lui aussi. La rideau se lève, et ma femelle apparait toute seule dans son salon. Elle est magnifique, une belle blondasse à forte poitrine (95D), en mini jupe et large décolleté. On sonne à la porte, et elle fait entrer un homme, un beau black. Ils tombent dans les bras l’un de l’autre, et s’embrassent à bouche que veux-tu. Elle se dégage, et s’empresse de déshabiller le nouveau venu: veste, chemise, chaussures, pantalon, caleçon, il se retrouve vite à poil. On le voit de dos, côté face, côté fesses, pour tenir le public en haleine en attendant le côté pile. Elle s’agenouille devant lui, prête à s’occuper de son sexe, lorsque l’on sonne à nouveau. Elle se relève d’un coup, et met son doigt sur ses lèvres pour indiquer à son partenaire le silence absolu. Un deuxième coup de sonnette sans réponse de sa part. On entend alors un bruit de clé dans la serrure. Elle réalise: — Merde, mon mari! Vite, cache toi. Comme dans toutes les pièces du genre, il y a un placard libre, et il s’y précipite sans même penser à prendre ses affaires. C’est effectivement le mari qui entre, c’est à dire moi. Je trouve ma femme bizarre, gênée, inquiète. Elle essaie visiblement de cacher quelque chose, ...
... et je découvre le vestiaire d’un inconnu. Je sais qu’elle prend des amants, j’ai une vie dissolue moi aussi, mais tout va bien du moment qu’on le fait secrètement. Là par contre, je sais qu’il est là, et ça ne se passe pas très bien. On s’engueule, et elle fini par tout m’avouer, après m’avoir fait promettre de garder mon calme, et de ne pas lui casser la gueule. Ok, j’accepte. Son copain sort du placard, nu, les mains sur son bas ventre, sans parvenir à camoufler son engin qui pendouille à mi cuisses. Le public est ravi, et applaudi à la vue de ce boudin prometteur. Il essaie de s’excuser, mais je le rassure aussitôt: — Ne t’en fais pas, j’ai l’habitude, c’est une salope ma femme, et tu n’es pas le premier. Par contre, je ne sais pas si elle te l’as dit, mais moi aussi j’aime la queue. Alors si tu veux m’offrir la tienne, ça me ferais plaisir et je te pardonnerais. — J’aimerais bien, mais je crains qu’elle ne soit trop grosse! — Ne t’inquiètes pas, j’aime les gros calibres comme le tien. — Elle est au repos, telle que tu la vois, mais en action, c’est autre chose. Personne n’a osé m’offrir son petit trou, et ta femme non plus. — Alors je vais être le premier, c’est un gourmand mon cul. Laisse moi te faire bander, que je vois si tu es aussi bien monté que tu le dis. Je m’accroupis devant lui, et prend son manche en main, à deux mains tellement il est imposant. Je le caresse, le câline, le branle, le fais se raidir. Je l’embrasse, le lèche, veux le sucer, mais parvient juste à ...