Ma déesse black complice d'un de mes fantasmes
Datte: 13/07/2021,
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... piscine bleutée, contrastant avec la verdure environnante. Nous y retrouvions ses parents s’y baignant déjà, nus… Une fois nos effets ôtés, non sans une certaine gêne en ce qui me concerne, nous avons pris un bain délicieux et emprunt d’une joie collective. La nudité des parents de Sophiame me confirmait les impressions eues à l’aéroport. Lui, un corps musclé et sportif ; elle, un corps bien conservé pour son âge, une poitrine de belle allure, un ventre quasiment plat, des jambes longues et fuselées, des fesses magnifiques ! Après quelques brasses, Sophiame s’accrocha à mon cou, entourant mon bassin de ses belles jambes. L’effet fut immédiat, sentant mon sexe se durcir à une vitesse grand V. Impossible de sortir de l’eau dans cet état et Sophiame en rigola, ayant deviné ma gêne. Elle me souffla à l’oreille que je ne m’inquiète pas, ses parents allaient s’absenter durant ce séjour. C’est donc à moitié bandé que je décidai de m’installer sur un « transat », à l’ombre au bord de la piscine. À ce moment une « doudou » vint nous servir des rafraîchissements, pas choquée (certainement habituée) de la tenue d’Ève de ses employeurs. Nous bronzions tranquillement lorsque Sophiame se mit à appliquer sur ma peau trop blanche de la crème protectrice. Allongé sur le ventre, mon sexe se frayait un chemin pour se tendre, comprimé par le coussin. En tournant la tête, je découvris son père, assis sur les cuisses de sa femme, appliquant aussi sur son dos la crème. Surpris, je voyais son sexe ...
... tendu le long de la raie de ce magnifique cul. Par pudeur, je retournai ma tête tandis que Sophiame sentait avec douceur mes fesses. Elle adorait les caresser et me disait toujours qu’elle n’en avait jamais connu d’aussi douces. Je n’en pouvais plus, une terrible envie de sauter sur Sophiame m’obsédait. — Retourne-toi ! me dit-elle. Mais je ne voulais pas ! M’apercevant que ses parents avaient discrètement disparus (et je devinais pourquoi !), je me retournai, montrant ce sexe tendu et gonflé à bloc, en toute indécence aux yeux malicieux de Sophiame. Alors que par habitude, nous privilégions de délicieux préliminaires, Sophiame s’avança, prit mon bâton et le guida dans son sexe détrempé, l’avalant d’un seul coup ! Je me demandai si le personnel voyait ça mais l’excitation était telle que je laissais Sophiame coulisser sur ma hampe, fermant les yeux. Ma main droite se préoccupait de titiller son clitoris tandis que ma gauche serrait sa fesse gauche, la pinçant, la soulevant et la baladant sur sa raie sans oublier quelques passages sur sa rosette. Sophiame, près de la jouissance, se pencha sur moi, écrasant sa poitrine sur mon torse, accéléra le rythme, rebondissait de tout son corps sur mes couilles tandis que je lui pinçais son petit bouton enflé. Elle étouffa un râle en griffant mes épaules et s’abattit sur moi, la tête dans le creux de mon épaule. Je continuais de toutes mes forces à m’enfoncer au plus profond d’elle jusqu’à jouir, sentant ma semence gicler puissamment… Le ...