1. Histoire classique dans un sauna


    Datte: 14/07/2021, Catégories: hh, hplusag, sauna, hsoumis, hdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral hdanus, hsodo,

    Plus que quelques pas et je vais sonner pour que l’on m’ouvre la porte. Nous sommes à Paris, proche d’une grande gare, et l’envie d’aller dans un sauna réservé aux hommes n’est pas seulement liée aux premiers froids de ce mois d’octobre. J’aime me retrouver dans cette ambiance où plaisirs et désirs de tous trouvent souvent leur presque parfait complément. À maintenant presque 41 ans j’ai enfin pris conscience que j’avais besoin de ces moments où les peaux s’effleurent où les regards se croisent cherchant à percer les envies de l’autre. Pour ma part je recherche des hommes plus âgés, actifs, car j’adore sucer depuis que je suis très jeune et aussi me faire baiser, car un homme plus entreprenant que d’autres m’a convaincu que c’était un plaisir dont il ne fallait pas se priver. L’excitation continue de monter… me voilà en train de franchir les derniers mètres. L’accueil est habituel, ni froid, ni familier. L’homme à la réception me tend une serviette, m’indique mon numéro de casier et sa direction. Je traverse donc la pièce centrale ou deux sexagénaires bien en chair papotent tranquillement, intégralement nus, regardant du coin de l’œil l’arrivant. Le reste des lieux semble assez calme ce qui n’est pas surprenant compte tenu du fait que nous sommes au début de l’après-midi, un jour de semaine. Je me glisse donc vers mon vestiaire où j’entreprends de me déshabiller. Je fais peu cas de Mr qui vient d’entrer malgré un échange de salut. Nous sommes dans un cycle contraire puisque ...
    ... lui vient se rhabiller pour retourner, à son travail. Alors que j’entreprends, torse nu, assis sur le banc, d’ôter chaussures chaussettes et pantalon je prends conscience qu’il a stoppé ce qu’il avait commencé à faire et qu’il me fixe avec un sourire accroché aux lèvres. J’ai face à moi un homme assez bien bâti, dans la tranche d’âge que j’affectionne, nu mis à part la serviette qu’il tient à la main et le sexe à demi bandé. De mon côté, je finissais consciencieusement d’ôter mon pantalon quand j’entendis sa voix… — Quel dommage que nous nous croisions, je ne vais pas pouvoir prendre ton petit cul cette fois… Peut-être que je voyais jusque-là, et à tort, les vestiaires comme une sorte de sas de (dé) compression sans prémices sexuelles, mais je n’imaginais pas un seul instant entendre ces mots à cet instant. Peut-être aussi que j’aime entrer tout doucement dans la danse prendre le temps de sélectionner mes partenaires… Bref… surpris, je suis resté silencieux… — Tu ne te souviens pas de moi ?— Non, désolé, nous nous sommes déjà croisés ici ?— Oh le petit coquin… tu veux que je te rappelle ce que nous avons fait ? Un œil sur sa queue que je vois gentiment gonfler ne me laisse pas de doute sur le fait que le moment devait être agréable… en quelques secondes je me sens électrisé par la situation… j’essaye d’en savoir plus : — Oui je veux bien t’entendre, car je ne me souviens pas.— Alors, voilà, nous nous étions croisés plusieurs fois puis nous nous sommes retrouvés assis côte à ...
«123»