Black Angel, justicière et soumise (2) - Histoires de Sexe

Black Angel, justicière et soumise (2)

... j’aimais ça. Pourquoi ? — Alors, Océane, comment tu te sens ? — J’ai les fesses en feu, Dame Alexa. — C’est tout ? — J’ai également honte ! Je sentis le bout de ses doigts se rapprocher très lentement mais dangereusement de ma petite chatte trempée. Heureusement pour moi, il n’est pas allé au bout se sa course. — Dis, Océane, qu’est ce que tu ressens pour moi ? Je sais qu’on n’a jamais pu trop se blairer toutes les deux, mais je veux connaître tes sentiments exacts à mon égard. — Je... je vous hais, Dame Alexa. — Pourquoi ? — Parce que vous prenez toujours les gens de haut. Vous estimez que votre richesse financière vous rend supérieure aux autres. Je vous déteste sincèrement pour ça. — Tant mieux ! N’éprouves-tu pas plus de honte à te faire remettre ainsi à ta place par celle que tu as toujours haïe ? Hein ? insista-t-elle lourdement sur cette dernière question en me donnant encore une sévère gifle sur mes joues fessières. — Aïe ! Si, Dame Alexa. Après une ultime et intense claque sur les fesses, elle me fit agenouiller et saisit mon menton avec fermeté. Je baissai les yeux alors que j’étais dans un état second. — Si tu veux tout savoir, moi aussi je te déteste, Océane ! Et le plus beau, c’est que te voir ainsi, toute nue devant moi, le cul en feu, humiliée, soumise, à m’appeler "Dame Alexa", ben je vais te dire : ça me fait mouiller grave ! Tu sais, quand je t’ai vu te transformer, tout a été clair. Je sais pourquoi tu joues les justicières : c’est parce que ça te plaît de ...

... botter le cul des petits gredins ; mais ce qui t’excite le plus, c’est l’idée de pouvoir un jour te faire rabaisser comme tu le mérites ! — Oui, Dame Alexa. mentis-je. — Eh bien, cette personne, tu l’as trouvée ; et c’est moi ! Oh ! Et dans ma grande bonté, ça me fait penser que j’ai un petit cadeau pour toi… Tout à coup elle me repoussa, se releva, défit sa jupe qui tomba à terre, retira sa culotte et s’allongea sur mon lit. Elle se redressa à l’aide de ses coudes et écarta les cuisses sans la moindre pudeur, genoux relevés. J’avais une vue imprenable sur sa vulve impeccablement entretenue, et à vue d’œil, elle ne mentait pas : je voyais sa chatte bien rose, ouverte, aux lèvres gonflées et luisantes de mouille. Elle agrippa ma nuque et posta mon visage à quelques centimètres de son intimité mouillée. — Alors, elle te fait envie, hein ? Elle n’est pas lavée, et je parie que... Le parfum qui a empli mes narines a eu raison de moi. Je n’en pouvais plus. Vu l’état d’excitation incroyable dans lequel je me trouvais, j’aurais bouffé avec plaisir la plus ignoble des chattes qui se serait présentée à moi. Je me jetai dessus pour dévorer la sienne comme une affamée. — Ouaaaah ! s’exclama-t-elle de surprise. Dis donc, tu as de l’appétit !... Oooh, putain, ouiii, allez, bouffe-moi mieux que ça, salope, je suis pas cette misérable gouine de Béné ! Régale-toi de cette moule de premier choix ! Lààà, oui, comme ça, c’est mieux ! Oh, putain, la vache ! Elle saisit ma tête pour maintenir mon ...