Corinne, Philippe et Moi
Datte: 14/07/2021,
Catégories:
hh,
fhh,
hbi,
couplus,
copains,
amour,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Partouze / Groupe
hsodo,
init,
inithh,
Cela avait commencé comme un jeu, sans préméditation ni prise de tête. Lors d’une soirée un peu arrosée, la discussion avait pris une tournure libertine, accompagnée de gestes provocateurs ou sensuels toujours plus audacieux. Cela s’était terminé dans le canapé déplié, Corinne entre nous deux. Depuis cette soirée, Philippe venait régulièrement nous rejoindre pour une partie de jambes en l’air. Cette fantaisie que nous nous permettions avec Corinne était comme une friandise de plus dans notre vie amoureuse et sexuelle. Assez souvent, Corinne se retrouvait en sandwich entre Philippe et moi. J’étais la plupart du temps dessous, mon sexe dans son sexe, mais surtout mes yeux dans ses yeux, pour les voir s’écarquiller en grand lorsque la jouissance la gagnait. Nous étions dans cette position ce soir-là quand le plus petit des enfants s’est réveillé en pleur. Corinne nous a laissé planté là en nous disant qu’elle revenait tout de suite et ne pas bouger en l’attendant. J’étais donc allongé sur le dos, Philippe au-dessus de moi, la bite tendue, sans rien entre nous deux, son visage à quelques décimètres du mien. Si Philippe était mon meilleur ami, et de longue date, il n’y avait jamais rien eu de sexuel entre nous. Nous nous occupions de Corinne et Corinne s’occupait de nous, point. Passé un premier moment de gêne, Philippe me dit : — T’as d’beaux yeux tu sais ! Ce qui nous fit rire tous les deux. Corinne revenant, nous reprîmes notre cavalcade. Nous venions à peine de rallumer le ...
... corps refroidi de Corinne, que les pleurs enfantins recommencèrent. De nouveau face à face, je sentis un trouble entre Philippe et moi. Nous étions chauds comme la braise et les interruptions nous laissaient sur notre faim. Il me dit : — Je suis trop excité, je vais devoir te violer ! Dans le jeu, je lui répondis : — Allons jeune homme, mettez-y un peu de manière , je ne m’abandonne pas au premier venu.— Très bien, c’est entendu, me dit-il en me regardant dans les yeux. Puis il baissa la tête et vint me sucer le téton gauche. Cela m’électrisa le corps, autant par surprise que par plaisir. Ne réagissant pas outre mesure, il continua, passant de l’un à l’autre. Il arrêta net quand il entendit Corinne revenir. Elle lâcha : — C’est les dents… Et elle reprit sa place entre nous, mais avec moins d’entrain. Elle revenait pour nous faire plaisir, mais son esprit était ailleurs et son corps trahissait la retombée de sa libido. Philippe et moi étions toujours aussi excités, les intermèdes n’ayant rien fait pour réduire la pression, mais la passivité de Corinne, d’habitude si participative créait une gêne. Cela ne dura pas longtemps, le petit la rappelant par ses pleurs. À peine sortie de la pièce, Philippe recommençait ses investigations buccales, pour mon plus grand plaisir. M’enhardissant, je posais mes mains sur son corps, caressant le bas de son dos. Abaissant son bassin, nos sexes se frôlaient, se frottaient. Pris dans la frénésie, mes mains pétrissaient ses fesses. Alors que mes ...