La spirale infernale (3)
Datte: 15/07/2021,
Catégories:
Gay
Je ne reviendrai pas sur l’épilogue du chapitre précédent. Ce fut finalement, avec le recul, un moment assez peu plaisant. Mais l’occasion pour moi d’expérimenter la sodomie d’une manière assez brutale. Bref... Me voici deux ans plus tard et mon cas ne s’est pas arrangé. Après cette expérience avec papy, je demeurai tranquille un long moment. Je désinstallai l’appli, bien décidé à oublier ces expériences nocturnes et à me concentrer sur ma vie de couple. Je tins bon quelques mois. Mais la tentation était plus grande chaque jour. Un soir d’ennui ou de solitude, je craquai et réinstallai l’appli maudite. Très vite des messages... des photos de bites dressées... et mon désir ardent... Un rendez-vous... puis deux... puis trois... à chaque fois, mon plaisir se faisait plus fort... je dégustai littéralement ces queues, je me concentrai pour profiter de chaque instant, chaque sensation. Je m’appliquai à bien penser à tout, ne pas la prendre en bouche trop tôt, lécher les couilles ou les malaxer, caresser les fesses, prendre les mains de mon partenaire et les poser sur ma tête. Bombarder son gland de mille coups de langues, et pousser sa queue le plus loin possible dans ma gorge malgré quelques hauts-le-coeur. Tout ça dans un seul but: récolter sa jouissance. Sentir sa présence chaude et visqueuse envahir ma bouche et ma gorge. Les yeux fermés, dans un râle de plaisir, avaler chaque goutte au rythme des contractions de sa verge... puis se faire sage la garder un peu en bouche, le ...
... temps de nettoyer les dernières gouttes... et partir... Non loin de me rassasier, mon désir prenait de plus en plus de place et mes fantasmes devenaient de plus en plus hard. Je songeai de plus en plus sérieusement aux glory holes. J’allai visiter les lieux de dragues sur les parkings la nuit. Mais je n’osai franchir le pas. Même en allant dans les toilettes d’autoroute, je ne pouvais m’empêcher de fantasmer en pensant à tous ces routiers aux couilles pleines. C’est probablement ce que j’avais dans la tête, quand en cette fin d’après midi, je pénétrai dans les toilettes de cette aire d’autoroute. J’hésitai un instant entre la cabine et la pissotière, puis me dirigeai vers cette dernière. Un peu tendu. Je commençai à uriner quand un autre homme arriva. Il s’approcha de l’urinoir à côté de la mienne et sorti son pénis pour faire son affaire. De mon côté, j’étais si tendu que je n’arrivais plus à pisser, et comme cela ne suffisait pas, petit à petit mon sexe commençait à bander. J’étais mort de honte. Plutôt que de ranger ma bite et partir tout simplement, je restais tétanisé, avec ma bite à la main qui devenait de plus en plus raide. Je n’osait pas regarder mon voisin d’urinoir, mais je sentais soudain son regard sur moi, et sur mon trouble. Soudain, sans un mot, il posa sa main sur ma queue et commença à la caresser doucement. Je fis de même. Il était plus petit que moi, mais sa bite était de belle taille et bien raide. j’étais dans un état d’excitation tellement intense que ma ...