La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°806)
Datte: 15/07/2021,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... hypnotisant… envoûtant mais tellement excitant … Le Marquis se redresse un peu pour se libérer de son appui et commença à parcourir mon corps avec ses mains, d’abord mon cou, puis mes dessous de bras, goûtant ainsi l’œuvre de mon rasoir du matin puis commença à me manger de sa bouche, menton, cou, haut de la poitrine. Je n’avais qu’une envie. C’était de pouvoir me mordre la lèvre inférieure mais je ne pouvais pas. Arrivant sur mes seins, il les prit à pleine main et se Il mit savamment à les sucer, les mordiller. Je sentais ma respiration devenir plus ample suivant les caresses et les étirements et mouvements de sussions… Je pensais en moi-même que ces caresses étaient divines, je fermais les yeux et tentais de renverser la tête en arrière. Monsieur le Marquis me dit en me regardant : - Oui, ma belle, oui, vas-y hummm respire encore profondément… Je sentis comme un sanglot venir du plus profond de mon plexus. Le remarquant, le Marquis arrêta un instant pour placer sa main droite sur mon plexus et l’autre sur l’épaule gauche pour m’apaiser. - Chuutt, laisse-moi faire, nous allons y aller ensemble… Je me demandais ce qu’Il pouvait bien vouloir dire et je le regardais d’un air interrogateur. - Non, non, je ne vais pas répondre à ta question, ça ne marche pas comme ça ici ! Me lança-t-il en riant tout en se remettant à mâchouiller mes seins à pleine bouche. Je commençais à voir jaune, des flots de sensations totalement nouvelles m’enveloppaient et toujours ce feu qui gagnait ...
... maintenant tout mon bassin jusqu’au nombril. Ma chatte que je sentais couler de plus en plus, le cœur battant et gonflant mes lèvres intimes que le Marquis n’avait fait qu’effleurer un peu avec son pantalon. Sa bouche délaisse alors mes seins pour descendre dans la vallée en leur milieu arriver sur mon ventre. Là Monsieur le Marquis plonge sa langue dans mon nombril. Ma respiration s’accéléra avec ma surprise de me découvrir ainsi dégustée. - Oui, oui, humm, c’est bon humm de te dévorer ainsi ligotée humm sans que tu puisses, humm bouger. Chris, ton corps est délicieux ! Allons voir ici, un peu plus bas hoo mais qu’est-ce donc ? qu’as-tu donc là… juste ici… A ces mots, le Marquis décalotta mon clito hyper sensible et appuya son pouce juste sur la turgescence. Je ne pus retenir un râle. Oh, oh… Christine, je crois que je vais changer ton bâillon et tout de suite ! Monsieur le Marquis attrapa un bâillon-boule et procéda à l’échange. Je ne pouvais plus respirer que par le nez. Je lançai un regard implorant au Marquis qui me donna une petite tape du bout du doigt sur le nez. En s’accoudant à la table il frotta son nez au mien avant d’y déposer un baiser et de me dire : - Non, non, non, tu es à moi… je veux m’amuser ! Argh… Il veut s’amuser à torturer mes désirs. Mais Chris… après tout n’es-tu pas là pour ça, me dis-je en moi-même. J’esquissai un sourire du mieux que je pus pour lui répondre. Rapidement il revient à l’autre bout de la table, empoignant mes pieds l’un après l’autre ...