1. LE JOLI MOIS DE MAI : 14ème épisode.


    Datte: 15/07/2021, Catégories: Partouze / Groupe

    ... il fait dans le mètre quatre-vingt-dix et fait sûrement dans les quatre-vingt-dix kilos. Petite barbe de trois jours poivre et sel, bien entretenue sur un visage assez anguleux. Une forte mâchoire et des yeux très vifs. Intelligent, et habitué à ne pas s’en laisser compter d’après ce que nous avons entendu de son échange avec le réceptionniste. - « Je vous en prie. Vous êtes ce qui m’arrive de mieux depuis ce matin, concède-t-il en regardant Christelle avec un sourire. » - « Elle minaude une gentillesse en retour, appréciant le savoir-vivre du monsieur qui a vite jaugé à qui il a affaire.» Il faut dire qu’elle est plutôt échauffée par nos caresses au restaurant et la perspective de baiser dans un nouveau lit. La flamme qui brille dans son regard ne passe pas inaperçue pour ceux qui savent regarder. Le temps que nous obtenions notre clé, elle recule et adopte cette position que je lui connais quand elle est séduite et qu’elle désire un homme. Les mains sur les hanches, le bassin un peu en avant, elle ouvre sa jambe droite comme le font les danseuses classiques en présentant l’intérieur de son pied. Les seins en avant, elle offre, là encore pour qui sait le décoder, un langage non verbal explicite : « toi, tu me plais ! » - « Chambre deux cent cinq ! » Presque au même moment, après avoir retrouvé le fax de réservation disparu, l’employé décide d’attribuer à l’homme la deux cent trois. Nous passons donc devant en offrant à notre voisin de chambrée l’occasion de vérifier un peu ...
    ... mieux la plastique de Christelle. Je joue le jeu en montant les marches, légèrement décalé par rapport à elle. Il a ainsi tout le loisir de mater ces jolies fesses qui se balancent devant lui. Nous atteignons notre chambre et lui souhaitons une bonne nuit. Cette fois c’est Christelle qui le jauge alors qu’il regagne, quelques mètres plus loin, son lit. Nous retrouvons nos affaires et nous mettons à l’aise avant de plonger sur le lit, à moitié nus. En sous-vêtements noirs ma femme est terriblement désirable. Elle le sait et profite de tous ses charmes pour me rendre à moitié fou. Allongée sur le dos, les cuisses entrouvertes, tout à fait offerte, elle commence à promener sur son sexe ses doigts, jusqu’à provoquer des mouvements très suggestifs du bassin. Je m’agenouille à côté d’elle et commence moi-même à me tripoter, sans la quitter du regard. Dans le silence, nous commençons ainsi nos préliminaires et commençons à percevoir l’environnement sonore de l’hôtel. Si le lit est spacieux, il couine un peu à chacun de nos mouvements. Tout comme celui de notre voisin dont la télé produit un bruit de fond dont nous percevons la nature : une retransmission sportive quelconque. Complices nous devinons Christelle et moi qu’il vient de se laisser tomber de l’autre côté de la cloison sur son propre lit. S’il ne nous écoute pas il ne va pas tarder à se rendre compte de notre activité du moment. - « Attend on va voir... » Et elle décide d’augmenter le volume sonore de ses manifestations de ...