Tante Gisèle, maman, et les autres... (22) - Histoires de Sexe

Tante Gisèle, maman, et les autres... (22)

Chapitre 22 : Maman, moi…et mes deux potes Le Samedi matin, en me réveillant près de ma mère, je repense à Larissa, la femme de son patron et sa merveilleuse petite chatte rose qui contraste avec son corps café au lait. Elle m’a laissé son N° de portable et je ne manquerais pas de l’appeler. Maman dort encore et en voyant son pubis et sa chatte lorsque je repousse le drap pour me lever, je ne peux m’empêcher d’écarter ses jambes pour poser mes lèvres dessus. Maman gémit tout doucement et quand le bout de ma langue s’insère entre ses lèvres intimes si douces, elle se réveille lentement et comprenant que je suis entre ses jambes, elle me caresse la tête, ses doigts dans mes cheveux. Elle remonte ses genoux en écartant ses cuisses pour m’offrir sa chatte. Ma langue fouille son sexe chaud et mon nez frotte son clito et quelques minutes après elle a un petit orgasme matinal. — Bonjour mon chéri. J’adore t’a façon de réveiller ta maman. — Bonjour maman. Tu jouis toujours aussi rapidement. Moi c’est ça que j’aime chez toi et tu mouilles tellement que j’ai déjà pris ma crème matinale. — Alors viens m’embrasser mon bébé, que je goûte si elle est bonne. En embrassant ma mère qui est déjà excitée de si bonne heure je repense à ce qu’elle m’a dit hier lorsque je l’ai trouvée complétement nue dans le bureau de son patron. « Je te raconterais pourquoi je suis toute nue » — Dis, maman si tu me disais la raison pour laquelle tu te trouvais à poil quand je suis arrivé hier… Maman est un ...

... peu embarrassée mais j’insiste et elle me raconte comment son patron l’a offerte à deux de ses clients. Bizarrement je ne suis pas vraiment surpris ayant découvert son besoin pour le sexe après sa première baise avec son fils. Ma queue, en pénétrant dans sa chatte a fait sauter tous ses principes moraux et ses inhibitions, laissant ses pulsions et fantasmes sexuels prendre le dessus pour porter au paroxysme toutes sortes de plaisirs que son sexe et autres parties de son corps peuvent lui procurer. Quand elle a fini de me conter ses frasque sexuels à plusieurs, que j’ai décrit précédemment, ça me fait penser à Serge et Michel, qui tous deux, m’ont souvent avoués qu’ils trouvaient ma mère terriblement désirable. — Et bien maman, je vois que ton fils ne te suffit plus et que plusieurs queues ne te font pas peur. Si mes potes qui fantasment sur toi savaient ça, ils accourraient pour te sauter dessus ! — Dany ! Veux-tu bien te taire ! Et surtout je te défends de leur dire quoi que ce soit ! Je n’ai rien dit mais lorsque mes deux potes m’ont demandé s’ils pouvaient me voir dans l’après-midi, j’ai immédiatement fantasmé et je leur ai dit que je les verrais avec plaisir. Après le déjeuner, Serge et Michel sont arrivés et nous avons parlé sur nos cours et projets pour les vacances et comme d’habitude on a inévitablement parlé d’autre choses du genre, « quoi de neuf coté sexe? ». Michel n’arrive pas à oublier ma tante Gisèle que je lui ai offerte sur un plateau et Serge me dit que son ...