Post-divorce - épisode 21
Datte: 16/07/2021,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Hardcore,
Inceste / Tabou
... au travail de Guillaume, je n’ai pas cette chance. Peut-être que si mon trou massacré s’était mis à saigner à gros bouillon, il aurait cessé. Mais là il continue jusqu’à ce que je m’évanouisse de douleur.Ca ne les arrête pas pour autant car ils me giflent et tordent mes mamelons pour que je reprenne conscience.Encore à demi KO, je constate qu’ ils sont occupés à uriner debout dans mon cul béant, s’amusant du bruit produit par les jets dans mon orifice complètement distendu et transformé en cloaque infect. Lorsqu’ils voient que je suis à nouveau en capacité de réagir, ils me retournent sur le dos et mon fisteur s’assoit sur mon visage, l’anus sur ma bouche. Il chie et me remplit de merde en grognant. Un second vient me « gaver » de la même façon, puis après une hésitation, ils s’y mettent finalement tous. Piochant dans le tas d’excrément un gros étron bien dur, mon fisteur me l’enfonce dans la bouche et me contraint à prodiguer une fellation immonde avant de me sodomiser avec. Incapable de m’en empêcher, je vomis et ils me f0rcent à lécher le sol couvert de mes propres salissures et de leurs déjections.Enfin, ils se réajustent et quittent la salle non sans m’insulter et me cracher dessus une dernière fois. Quand j’entends la voix de Bernard Vottin, elle est assourdie, lointaine. Je ne l’ai même pas vu entrer :- Tu as assuré, ma Françoise. C’est presque fini…Je gémis quand il m’aide à me lever et me fait assoir dans un coin de la pièce. Je note que les diodes des caméras sont ...
... toujours allumées. Il fait un signe derrière lui et un jet d’eau tiède arrose mon torse. Tarek et MasterB me nettoient ensuite soigneusement au jet de la tête aux pieds. Je proteste quand ils enfilent le tuyau dans mon rectum pour me dispenser un lavement bien trop long et qu’ils me tiennent cambré, fesses écartées tout le temps où je me vide. Ils s’évertuent ensuite à me lubrifier lentement l’anus. Lorsque la douleur s’estompe graduellement, je comprends que le gel devait contenir des corticoïdes et que ça n’est pas fini. Je sanglote en gémissant :- Pitié… pitié non…- Il le faut, gronde MasterB en me mettant une nouvelle fiole de Poppers sous le nez que je sniffe entièrement pendant que Tarek achève de me « graisser ».Quand les deux hommes musclés avec les harnais de cuir apportent le poteau d’empalement et le posent au centre de la pièce, je ne me débats pas mais passe docilement mes bras sur les épaules de MasterB et Tarek.Ils me transportent à l’aplomb du terrible objet : un mètre soixante de haut, surmonté par un embout monstrueux d’une trentaine de centimètre qui va en s’évasant ensuite en forme de cône, il est fait pour m’écarteler l’anus sous mon propre poids afin que je finisse planté dessus, empalé. Mes tortionnaires me lèvent par les fesses pour que mon cul repose sur le haut de l’appareil dégoulinant de lubrifiant. Lentement, ils me laissent tomber tout en me soutenant. J’ai une cinquantaine de centimètres enfoncé dans le corps lorsque la progression se bloque. Les ...