Triple A
Datte: 16/07/2021,
Catégories:
Première fois
... avec ma grand-mère pour me faire gâter. Je suis sa seule petite fille et elle ne sait pas quoi faire pour me faire plaisir. Je n’ai qu’à lui dire, j’ai vu ça et hop elle me l’achète ou elle me donne de quoi l’acheter. Je me demande ce qu’elle va dire quand je vais lui parler de ma nouvelle lingerie. Je me suis rapprochée des filles qui étaient assises, devant une glace, au fond du magasin où Andréa essayait des chaussures : - Tu les trouves, comment me demanda elle ? Elle avait aux pieds des sandales à bout rond et talon aiguille, d’au moins dix centimètres, fermées par une boucle sur une bride de cheville elle-même reliée par une autre descendant sur le coup de pied jusqu’à celle maintenant la pointe du pied. Elles étaient rouges et s’harmonisaient parfaitement avec sa robe. - Elles sont parfaites, mais tu n’as pas peur que le talon soit trop haut ? - A peine deux centimètres de plus, que celles qu’on porte. Elle s’est mise debout pour juger son apparence chaussures aux pieds. - Je les prends ! Avant de se rasseoir, elle se pencha en avant ce qui fit remonter sa robe sur les fesses. Quand elle s’est assise le tissu était bien haut sur les cuisses et de là où je me trouvais, j’avais le reflet de sa chatte dans la glace. Je me suis penchée vers elle : - Ta robe Andréa ! Elle tourna la tête vers moi : - Oui, je sais ! Elle n’est pas belle ma petite chatte ? Une fois de plus j’aurais dû me taire. Mais ce qui me surprit le plus c’est qu’en se baissant pour retirer les chaussures ...
... elle passa brièvement, d’un geste rapide et presque imperceptible, ses doigts sur son intimité et qu’elle me les tendit : - Suce me dit elle ! Je me suis exécutée : - Moi je partage mon plaisir me, dit-elle. Nous nous sommes assises à la terrasse d’un café, à l’ombre des platanes juste en face des arènes. Par cette après-midi d’été la chaleur était forte et la terrasse était bondée, mais nous avons trouvé une place. Après nous être désaltérées, nous avons pris un chemin différent pour rejoindre la voiture. En passant rue de la Trésorerie nous sommes tombées sur un sex-shop. Je savais que cela existait, mais je n’en avais jamais vu, mes amies non plus, car elles avaient toujours fait leurs achats sur le net. Adriana, curieuse comme pas deux : - Je ne suis jamais entrée dans un tel magasin, on rentre, je voudrais voir. - Je veux bien, dis-je, mais je ne suis pas majeur. - On verra bien ! Adriana poussa la porte et j’entrai la dernière. À la caisse située à l’entrée du magasin il y avait un couple derrière le comptoir qui nous salua. Nous commencions à déambuler entre les différents rayons quand une voix féminine nous interpella : - Excusez-moi mesdemoiselles, puis-je voir vos cartes d’identité. Si pour mes deux camarades, cela ne posait aucun problème, il n’en était pas de même pour moi. Je ne savais plus où me mettre quand je lui ai tendu ce qu’elle demandait. - Vous êtes mineure ? - Oui, mais j’aurai dix-huit ans dans quelques jours. - Vous savez que je dois vous demander de ...