1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1103)


    Datte: 17/07/2021, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... vidées, et à ma grande surprise, il sortit de ma bouche, toujours aussi raide qu’au début, il me mit à rire devant ma mine étonnée, ses dents très blanches tranchaient à côté de la couleur de sa peau et il me dit : - Recommence petite toubab, j’en ai encore pour toi ! A nouveau je le repris en bouche, tandis qu’il actionnait sa télécommande la lançant à fond… Je me cambrai tant la vibration était forte et violente… - Ahhhh ! … ouiiii ! … encore !, criais-je… Pour toute réponse je reçus une paire de gifles, tandis que de son doigt, il me désignait sans un mot, son gland…. ses yeux étaient rieurs…. J’avalais à nouveau sa tige, et recommençais de le branler du mieux possible, tandis qu’en moi se déversaient des torrents de lave en fusion… Mon bassin, remuait en tous sens, faisant bouger ces satanés godes en moi… tandis que, toujours penchée en avant, je continuais de le pomper activement… J’enviais Anne qui avait été désaccouplée du gode vaginal et était prise par le gars en cet endroit à même le sol en levrette…. J’avais la chatte en fusion… mais Abdou ne semblait pas, à la fois juter à nouveau, se contentant du léchage que je lui faisais subir, et s’intéresser à ...
    ... autre chose que ce qu’il voulait, lui ! Il mit beaucoup de temps à juter à nouveau, mais cette fois, ce ne fut pas des jets mais un seul et quel jet… J’en avais la bouche remplie, vraiment remplie, pas de ces jets de la taille d’une petite cuillérée à café habituelles, mais plutôt de celle d’une louche, tant ma bouche en était remplie à me faire rendre. Je mis trois fois à tout avaler faisant bien attention de ne pas en perdre… Pour une surprise, ce fut une surprise… C’est dans cet appareil que nous fûmes ramenées à nos box d’écurie, nos voisines nous regardant arriver, Anne et moi. Nous avons été désaccouplées de nos godes, des vibros, les mors nous ont été enlevés, et les pinces aussi, nous laissant des marques sanguinolentes… Réinstallées dans les box, nous fûmes attachées par nos colliers à l’anneau placé dans le mur, mains liées sur les reins… J’avais soif, et je dus me mettre à quatre pattes, lapant dans mon écuelle, l’eau fraîche. Je bus tant que quelques temps plus tard, prise de pipi urgent, j’écartais les cuisses et urinaient debout, sur la paille servant de litière… J’étais devenue un animal, un chose, un objet sexuel… et si heureuse de l’être !… (A suivre …) 
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