1. Telle paire... tel fils. (3)


    Datte: 17/07/2021, Catégories: Partouze / Groupe

    ... qu’elle était un peu provocante. Elle avait répondu, visiblement très outrée, presque hystérique : - Tout de même... votre copain se masturbait en cours... vous vous rendez compte. Personne ne fait ça ! - Si M’dame. - Quoi, comment,, que... qui ... ? Qui d’autre ? - J’peux pas balancer M’dame. - Oui évidemment... comme par hasard... - Mais moi, par exemple.... - Vous aussi ? Mais je n’ai rien vu ! - Ben non, j’ai pas osé sortir ma... ma bite... de mon froc... comme Jules, mais j’peux vous dire... - Enfin vous regardiez un film porno.... - Oui, mais c’est vous qui nous faisiez... bander... j’vous jure que c’est vrai. Il était prêt à se mettre en danger pour me sauver. - Vous vous rendez compte de ce que vous dites.... on ne peut pas légitimer cela... Vous voulez couvrir votre camarade, c’est louable à vous...mais si vous aviez eu.... une érection... je m’en serai rendu compte tout de même.... à moins que vous ne soyez pas aussi bien doté par la nature que votre ami... Il comprit la provocation. Souhaitait-elle l’humilier ou le pousser à la faute. Peu importe. Au point où il en était, il avait résolu d’être solidaire jusqu’au bout et lui, pourtant assez timide, n’hésita pas à baisser son froc devant elle; Il faut dire que le déshabillé méritait de plus en plus son nom. Il s’entrouvrait à mesure qu’elle s’agitait et les seins devenaient très visibles. - Ah si M’dame. J’suis bien monté aussi... regardez... Et il baissa son survêt, libérant sa grosse bite poilue qui commença son ...
    ... ascension. - Si vous avez rien vu, c’est que j’la coinçais entre mes cuisses. Vous en avez déjà vu une aussi grosse ? - OH ! Vous dépassez les bornes...Rangez-moi... ça... vous êtes encore plus.... plus....ignoble... dépravé... - C’est vous qui me faites cet effet là. Alors, aussi gros ? - Taisez-vous vous ne savez pas ce que vous dites! Dehors ! Foutez-moi le camp ! J’vais porter plainte pour agression si cela continue. Je suis en droit de le faire. Et elle s’était approché de lui pour le saisir par le bras et le mettre à la porte mais elle s’était pris les pieds dans le tapis et était tombée devant Arnaud. Il avait essayé de la retenir mais elle l’avait entrainé dans sa chute; le déshabillé s’était du coup carrément ouvert et Arnaud s’était retrouvé sur elle. Il y avait eu un moment de silence. Ils avaient éclaté de rire. Puis un autre moment de silence... alors, il avait osé... sans doute parce que son attitude l’y invitait. Sa bouche s’était ouverte sur une sein, il avait pompé fougueusement. Le reste avait suivi. Mais avant qu’il finisse de nous raconter tout cela, son père avait sonné à l’entrée. - Entre papa ! Par ici. Et quelques secondes après, Mathieu apparut dans l’encadrement de la porte. Madame Légoustane-Coronesse était allongée au milieu du lit, jambes écartées, chatte humide, lèvres gonflées et rouges, le clito en ordre de marche, les seins luisant et ruisselant encore du sperme paternel qu’elle venait de recevoir. J’étais allongé à côté. Elle jouait de sa main ...