1. Nathalie


    Datte: 17/07/2021, Catégories: fh, gros(ses), grosseins, groscul, lunettes, Collègues / Travail BDSM / Fétichisme Masturbation entreseins, fsodo,

    ... lunettes rondes qui lui donnaient un air assez coquin à y regarder de plus près. Ses épaules fines contrastaient avec ses bras forts, on pourrait même dire potelés. Ses vêtements amples atténuaient les courbes de sa poitrine que l’on devinait néanmoins assez généreuse. Je me souviens d’un jour où elle était vêtue d’un polo de couleur rouge, on pouvait remarquer au travers l’émergence de deux gros tétons qui ne demandaient qu’à être mordillés. Ses hanches étaient larges et son fessier tout autant. Ses cuisses étaient également charnues. Au final, elle ne paraissait pas vraiment grosse, seulement bien en chair. Un après-midi, alors quelle ne semblait avoir rien d’autre à faire, Nathalie est venue s’asseoir dans un fauteuil du salon qui faisait face au bureau sur lequel j’avais pris l’habitude de travailler. Elle avait apparemment besoin de compagnie. Elle m’expliqua qu’elle venait de se brouiller avec son copain. Sur le coup, je n’ai pas bien compris pourquoi elle venait se confier à moi. Rien ne semblait pouvoir l’arrêter. Elle me raconta sa vie avec son copain sans que je fus demandeur de quoi que ce soit. C’est à ce moment que j’ai appris que leur relation était désespérément plate sur le plan sentimental et sexuel et qu’elle restait avec, plus pour faire plaisir à ses parents que parce qu’elle en avait réellement envie. — C’est un mec comme toi qu’il me faudrait ! me lança-t-elle à demi-mots. Sur le coup, je fus presque gêné par ce qu’elle venait de me dire. Je n’osais ...
    ... plus la regarder en face. Elle rougissait de honte et elle s’était enfoncée un peu plus dans son fauteuil. Je ne l’avais par remarqué mais nous étions seuls car Simone était partie, l’heure de l’ouverture de la boutique approchant. Moi qui d’habitude suis du genre plutôt entreprenant avec les filles, j’étais là comme un couillon ne sachant que faire. Après un long moment de silence, Nathalie se leva du fauteuil et s’approcha de moi. Je n’avais pas levé les yeux du travail qui m’occupait. Elle se plaça derrière moi et resta un moment immobile. Je m’étais redressé, mais je n’osais me retourner de peur de la faire fuir. Je sentai sa respiration qui s’était accélérée. Elle s’approcha encore plus et posa un baiser sur le côté gauche de mon cou. Ses deux mains vinrent se poser en appui sur le bureau juste à côté des miennes. Cette position faisait qu’elle était maintenant collée à moi. Je sentai son abondante poitrine collée contre mes omoplates. J’ai alors posé délicatement mes mains sur chacune des siennes. Après quelques instants où nos doigts se sont entrelacés, Nathalie s’est reculée lentement, ce qui m’a permis de faire pivoter d’un demi-tour le fauteuil sur lequel je me trouvais. Nous nous faisions maintenant face. Ses deux tétons étaient en érection sous son t-shirt pourtant assez large. De mon côté, je n’étais pas en reste. Je bandais comme un âne. Le bermuda de toile beige que je portais ce jour-là semblait ne plus pouvoir contenir bien longtemps l’objet du désir apparent de ...
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