1. COLLECTION PUCEAU – PUCELLE. Le copain de mon fils. (2/2)


    Datte: 18/07/2021, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    Ce qui m’arrive est inimaginable, je suis en train de tromper David, mon mari avec Joaquim, un copain d’enfance de Thomas, mon fils qui était notre voisin, il y a quelques années et qui lui a fait poser des questions sur la taille de leurs zizis. C’est dans les vestiaires du club de foot où les douches étaient obligatoires que mon fils eût vu la longueur de la verge de celle de Joaquim et qu’il m’en eût parlé. Après environ dix ans, Joaquim sonne chez nous alors que je suis seule, réveillant du fond de ma mémoire le souvenir de la conversation avec mon fils j’en arrive à accepter de la voir, mieux de la prendre dans ma bouche tout en la masturbant. Que je le suce, est bien loin de satisfaire ce jeune homme bien que du haut de ses vingt-deux ans mes trente-six ans sont loin d’être un obstacle. Quatorze ans, j’avais quatorze ans quand il est né aussi acceptant cet état de fait, c’est naturellement que lorsqu’il ouvre mon chemisier pour admirer mes seins qu’il a vus quand je me faisais bronzer, je le laisse faire attendant même avec impatience la suite de ce qui va se passer. • C’est bien, je vois que ma mémoire était bonne, je les retrouve comme dans mes pensées, la seule différence, c’est que maintenant, je peux les prendre en main et les caresser. Ils me brûlent, ses mains sur moi me brûlent, il y a si longtemps que David les oublis, depuis combien de temps son sexe est étranger au mien, si je réfléchis, c’était le jour de ses trente-six ans, il y a 2 mois, à bien regarder ...
    ... ça a été son cadeau d’anniversaire. Alors, je me laisse porter par les événements, seule la belle verge mise à la disposition par Joaquim m’importe, au diable la morale, mon homme me délaisse, laisse-toi aller Irène. Je suis mes pensées et me commence à me laisser faire. • Mets-toi à quatre pattes sur ton canapé. Je me retourne quand il me libère. • Oui comme cela tes obus posés sur le dossier, tu es bandante ne crains rien, je soulève ta jupe. Joli cul je l’ai moins vu que tes seins et ta chatte mais je dois dire que tu l’entretien bien, pas un poil de cellulite. Il me flatte la croupe comme un maquignon le ferait avec le cul d’une vache, mais j’apprécie cette main sur mes rondeurs. Je sens qu’il écarte ma petite culotte en dentelle et avant que j’aie le temps de me rebeller, il me plante sa verge au fond du vagin en écartant mes grandes lèvres. Dès qu’il est profondément entré en moi il me reprend les seins comme s’il tenait le volant de sa voiture et me pilonne sans ménagement. J’adore cette façon d’être prise bestialement moi qui depuis mon dépucelage me fait prendre dans la position du missionnaire, alors je me laisse aller et un orgasme bien plus fort que les petites décharges que me procure mon mari traversant mon corps et irradiant ma colonne vertébrale, jusqu’à monter dans mon cerveau. • Tu vois c’était facile, te sens-tu coupable ? • Un petit peu mais cela a été si bon. J’ai encore sa verge au fond de mon vagin, car lui est resté sans jouir, je tourne la tête et pour ...
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