1. Le train des chaleurs (1)


    Datte: 18/07/2021, Catégories: Voyeur / Exhib / Nudisme

    En cette pleine saison d’été, les températures n’en finissent pas de faire transpirer sur nous la chaleur de nos désirs. Les peaux halées portent des tenues qui se font de plus en plus légères, les regards malicieux se croisent et expriment leurs envies non avouables, et pourtant, ô combien naturelles. Les pulsions sont à leurs paroxysmes et ne demandent qu’à être irrémédiablement assouvies. Il est quatorze heures. Dans mon appartement, la chaleur est écrasante. Ma peau perle de gouttes de sueur au moindre de mes mouvements. J’ai chaud, trop chaud. Étant en vacances et n’ayant aucune obligation particulière, j’ai décidé de rendre visite à une amie qui habite sur la côte d’azur, afin de me rapprocher de la fraîcheur des bains de mer et de la part de nudité qu’offrent les plages. Je m’appelle Thomas, je suis âgé d’une trentaine d’années, mon teint est plutôt clair pourtant mes origines méditerranéennes ne m’empêche pas de brunir, ce qui m’apporte un surplus et exquis gain de charme. Je mesure un mètre quatre-vingt-huit pour environ quatre-vingt-cinq kilos. J’entretiens mon physique de façon régulière ce qui me permet d’avoir une silhouette sportive aux muscles finement dessinés, sans vulgarité aucune. Je ne suis tout de même pas parfait, mais quand même, je tiens à rester agréable à regarder. Je suis vierge de toutes encres, car aucun tatouage ne s’est encore emparé de la moindre partie de mon corps. J’y ai bien songé, mais je ne vois pas qu’elle représentation fixe et ...
    ... éternelle pourrais-je y inscrire en ayant la certitude de ne jamais la regretter. Je me pare d’un bermuda bleu marine bien habillé que j’accompagne d’un t-shirt blanc sans manches, orné de motifs assortis et fait d’un tissu léger à peine transparent. Sac de voyage au bras, je marche pour rejoindre la gare qui se trouve à quelque pas de chez moi. Aujourd’hui, je ne sais pas ce qui se passe, mais je suis d’une humeur joyeuse, je me sens bien, tellement bien, que les gens le remarquent. Je donne un grand sourire à quiconque voudra le recevoir et beaucoup de gens ne peuvent pas réfréner leur envie de me le rendre. C’est une sorte de communion de joie que j’aime à partager. J’arrive juste pour embarquer dans mon train. Je grimpe dans le wagon. Il est entièrement vide de voyageurs. C’est une bonne nouvelle, je recherche le calme pour me reposer et espère que personne ne viendra s’y installer. Je choisis de m’asseoir à la place au fond en bout de rame, de telle sorte que je suis adossé à la cloison. D’une certaine manière, je préside donc l’ensemble de la voiture et je peux observer les voyageurs monter et descendre de la rame. Je suis assis dans un carré de quatre places que j’occupe seul, coté fenêtre. L’atmosphère est lourde. Juste avant le départ du train, je remarque qu’une grande, fine et jolie jeune femme aux cheveux d’un blond très clair, entre à toute hâte dans la rame immédiatement suivie d’un jeune homme brun tout aussi grand qu’elle, que j’imagine être son mari, tout du moins, ...
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