1. Le soumis attaché


    Datte: 18/07/2021, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... face. Le soleil s’était levé avec une lueur vigoureuse ne parvenant pas à réchauffer les piétons. Nous étions en hiver, début février. Toujours assis sur la chaise sur laquelle sa Maîtresse l’avait emprisonné, le soumis ne pouvait ni se lever, ni fuir, ni bouger ; il ne pouvait même pas cacher sa nudité et se trouvait à la merci de sa Dominatrice ; c’était une femme caractérielle qui pouvait se montrer douce et câline, mais en ce moment, pour le plus grand plaisir du soumis, elle était en mode autoritaire, en mode femme sévère. Elle se mit à masturber le pénis. La main féminine tirait vers elle, puis poussait vers lui, le phallus entravé, lentement. L’excitation masculine faisait affluer le sang vers le corps spongieux et le gland, mais la corde restreignant le flux sanguin causait d’étranges sensations au soumis. Il se sentait excité et frustré à la fois. Par chance, s’il pouvait considérer cela comme une chance, il sentait sa verge grandir, il sentait sa verge s’allonger, parce que la circulation sanguine n’était pas totalement interrompue, sa verge grossissait et s’élargissait à vue d’œil. Elle accéléra la masturbation ! Le soumis sentit toute son énergie fondre vers sa bite mais subitement s’arrêter puis s’agglutiner contre son pénis. Il avait l’impression d’éjaculer l’air ! Il ne ressentait nullement le rush émotionnel qui survient souvent mais pas toujours après une éjaculation. On aurait dit que son cerveau et son pénis avaient été déconnectés. Il subissait une ...
    ... émasculation cérébrale. La Dominatrice s’accroupit devant son mâle toujours attaché sur la chaise. Elle emboucha le pénis qu’elle se mît à fellationner. Le soumis souffla ! La bouche dominante s’attarda sur le gland qu’elle mordilla. Le plaisir décalotta le gland du soumis : maintenant qu’elle tenait ce fruit timide et intime toujours prompt à se cacher dans le prépuce, elle allait s’amuser avec lui pour le plus grand plaisir du couple. Elle lapa le gland, frotta sa langue rose contre lui, cela donnait du rose humide contre du rose humide. Les sensations étaient si délicieuses que le soumis se tortillait de plaisir sur sa chaise. Elle prit en bouche la totalité du gland qu’elle se mit à mordiller. L’esclave se sentait grimper l’extase grâce à sa Maîtresse. « J’ai la chance d’avoir une Maîtresse qui sait me donner du plaisir. Elle sait me dominer et me soumettre. C’est un plaisir de la servir ! » Elle savait mélanger douleur et caresse. Avec la verge du soumis dans la bouche, elle se mit à faire des va-et-vient. Elle avalait puis recrachait partiellement le pénis. Soudain, elle accélérera les mouvements buccaux. Il avait l’impression de devenir fou ! Au moment ultime, elle goba totalement le phallus. Lorsqu’elle libéra le pénis de sa bouche, il était en érection et recouvert par sa salive qui le faisait luire. À travers les volets de la fenêtre, la ville amenait les ronflements des voitures ; c’était l’heure où les salariés affamés retournaient chez eux pour s’alimenter ; l’intensité ...