Quand Margot devient chienne 27
Datte: 18/07/2021,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Première fois
... tiens ! Je veux être l’exclusivité de ton mari. Oh merde ça me fait tout drôle de te dire ça. C’est bizarre quand même tu ne trouves pas ? Je dis à ma meilleure copine que je suis l’exclusivité de son mari. C’est le monde à l’envers !- Oui je te comprends. Mais il faut faire la part des choses. Quand on est toutes les deux ensemble, quand je suis avec mon Laurent, ça, c’est la vraie vie. Et quand je suis avec « BHV » et toi avec ton Maître c’est la vie parallèle. La vie secrète.- Oui tu as encore raison. Il faut que je m’habitue à cette nouvelle vie. Mais je crois que pour faciliter les choses, après aujourd’hui, il ne faudrait plus qu’on en parle ensemble. Tu ne crois pas ?- Tu as peut-être raison. Mais au fait, Laurent il en dit quoi de cette exclusivité ?- C’était aussi son choix. Sinon je n’aurais pas accepté. Je ne me sens pas du tout capable de faire comme toi. Et même là, il y a surement des trucs que j’aurai du mal à faire. Mais j’ai accepté, alors je m’y plierais.Il faisait nuit sur le château. La lune éclairait le parking où, juste la voiture de Laurent était garée. Un coup d’œil à la montre du tableau de bord permit à Anne de savoir qu’elle était en retard. Et ben ça commence bien se dit-elle, je vais avoir droit à ma première punition, ça c’est certain. Dehors, une chouette lançait son cri lugubre déchirant la nuit. Anne sentit malgré elle un frisson lui parcourir l’échine. Pourtant il faisait bon. L’air doux agitait les buissons alentours.Elle se dirigea vers le ...
... perron, la lumière inondait les marches. Elle pressa le pas, inutile d’aggraver le retard même si ça ne doit rien changer. Elle n’eut pas à sonner, la porte s’ouvrit d’elle même et comme d’habitude, le « croque-mort » la fit entrer. A croire qu’il couche derrière la porte celui-la pensa-t-elle en courant vers la cave aux sévices ou délices, après tout il n’y a pas beaucoup de lettres différentes. Elle dévala les marches cette fois-ci sans hésiter. C’est le cœur empli de désir qu’elle accourait à la sollicitation de « Monsieur ». Il l’avait appelée le matin même. La conversation n’avait pas durée trente secondes. D’ailleurs ce n’était pas vraiment une conversation. « Ce soir, vingt et une heure » a dit « Monsieur ». « Où » a-t-elle demandé. « Au château » a-t-il répondu. « Très bien, j ‘y serais » a-t-elle conclu. Et voilà. Et maintenant elle poussait la lourde porte de bois cloutée courant vers sa destinée. Enfin, la destinée de ce soir.La lumière était toujours tamisée mais là, il lui a semblé qu’elle était plus basse que d ‘habitude. Oh, rien de précis, une impression furtive. Mais de toute façon elle n’eut pas l’occasion de se poser d’autre question. A peine entrée, elle fut saisie par derrière. Une grande main musculeuse plaquée sur sa bouche lui tenait le visage. L’autre main c’était saisi de la robe dans les reins en tirebouchonnant le tissu. Anne fut littéralement projetée en avant vers le lit rond à proximité. Ses bras battaient l’air. Elle était incapable de réagir. ...