1. Triple A


    Datte: 18/07/2021, Catégories: Première fois

    ... laquelle elles effectuèrent avec application les deux exercices. Je suis restée tout ce temps à les mater, à regarder les poitrines bouger au rythme des mouvements. J’avais aussi une vue imprenable sur leur intimité. Adriana toujours curieuse : - Tu as vu la poitrine de ta grand-mère ? - Oui ! Un jour où j’étais seins nus sous une robe et qu’elle s’en est aperçue. Et me voilà repartie à raconter ma vie … Elle m’expliqua que la poitrine devait être la fierté de toutes les femmes, que le jeu de la séduction entre homme et femme passe obligatoirement par la façon dont on la mettait en valeur. Pour cela, on se devait d’avoir des seins les plus beaux possible d’où la nécessité de préserver par tous les moyens ce que dame nature nous avait donné. C’est elle qui, la première, m’a parlé des bienfaits du froid et qui m’a expliqué comment faire pour la glace. C’est là qu’elle n’a pas hésité à me dévoiler sa poitrine et que j’ai découvert ses seins. Ils étaient, certes, un peu moins fermes et tombaient légèrement, mais ils avaient fière allure pour une dame de cet âge. C’est elle qui m’a dit aussi qu’il n’était pas bon de ne pas porter de soutien-gorge. Selon la robe qu’elle portait, si elle était obligée de ne pas en mettre elle maintenait sa poitrine avec des bandes de sparadrap, aujourd’hui il existe des soutiens-gorge adhésifs et invisibles. - Des soutiens-gorge adhésifs ? Tu te moques de nous ? - Pas du tout, je vous en montrerai. Elles reprirent leurs mouvements. Je me suis assise ...
    ... en face d’elles, une jambe repliée sous l’autre et sans m’en rendre compte ma main droite est venue titiller mon bouton On/Off que je manipulai avec douceur. Les sensations qui animaient mon ventre, la vue de ses deux chattes sous mes yeux, firent monter en moi un plaisir que je contrôlai difficilement. Elles avaient terminé les séries qu’elles s’étaient imposées et, sans rien changer à leur position, reprenaient leur respiration. Adriana se redressa pour prendre appui sur ses coudes avant de lâcher : - Regarde Andréa, elle se masturbe devant nous et après elle dira qu’elle n’est pas exhibitionniste. - Pense ce que tu veux mais à voir vos minettes je n’ai pas pu résister Andréa adopta la même position pour me regarder à son tour, un sourire aux lèvres. J’ai pivoté de cent quatre-vingts degrés et j’ai déposé un tendre baiser sur leur chatte, d’abord Adriana puis Andréa. J’ai pu ainsi goûter à l’humidité naissante de leur intimité. Mais j’en voulais plus ! Je me suis approchée de l’entre jambes d’Andréa : - J’ai envie de la tienne. - Viens, ma belle, elle est à toi ! Mets-toi au-dessus de moi, mais avant embrasse-moi. Je me suis approchée de son visage illuminé par un large sourire. Ses lèvres étaient entrouvertes, sa langue dardée déjà hors de sa cavité buccale. Je ne quittais pas son regard en m’approchant lentement. Probablement trop lentement car elle m’attrapa par la nuque pour m’attirer à elle. J’ai à peine eu le temps d’entrouvrir ma bouche que déjà je sentais sa langue ...